

Les Blondes
$18.99 – $29.95
Les Blondes de Emily Schultz
Pour la pauvre Hazel Hayes, les choses commencent à mal tourner lorsqu’elle apprend qu’elle est enceinte, une gracieuseté de son professeur d’université, marié et maintenant loin d’elle. Elle vient d’emménager à Manhattan et a de la difficulté à trouver ses repères. Et tout ça à quelques heures de l’apocalypse...
Des attaques meurtrières, que rien ne semble relier, se multiplient aux quatre coins de la ville. Il faut se rendre à l’évidence : une épidémie frappe les blondes, qu’elles soient hôtesses de l’air, agentes immobilières ou patronnes d’entreprise, et les transforme en tueuses sanguinaires. Cherchant à fuir la ville en proie à la panique, Hazel entreprend la traversée d’une Amérique paralysée par le fléau blond, épopée au cours de laquelle elle trouvera une alliée inattendue.
Maîtrisant avec une habileté déconcertante l’art du suspense et celui de la satire, Schultz signe avec Les Blondes un roman horriblement drôle et pétillant, truffé de remarques sensibles sur la beauté, la féminité et la maternité.
Traduit par Éric Fontaine
Titre original: The Blondes
Si tu survis, le monde dans lequel tu grandiras aura connu l'épouvante et la méfiance, la violence et même l'hystérie, un mot lourd de sens. Je ne crois pas que je l'aurais employé il y a un an.
Échos
Toronto Star
« Emily Schultz réinvente l’expression “femme fatale”. »
The National Post
« À la fois un récit réaliste qui traite de la solitude, de l’insécurité et des anxiétés maternelles, et une histoire extraordinaire, pas tout à fait allégorique, d’une demi-apocalypse. Preuve des dons immenses de l’auteur pour le ton, le détail et l’art de composer une voix singulière à la première personne, ce roman nous séduit sans cesse. »
Le Devoir
« Roman plutôt hybride, au croisement de l’histoire de zombies, du scénario catastrophe et du récit d’une liaison adultère qui tourne mal, Les Blondes baigne dans l’humour léger et l’autodérision. »
Chatelaine
« Une étude engageante et satirique de l’obsession de notre société pour la beauté, qui se double de l’idée que cette beauté est parfois réellement fatale. »
Fashion Magazine
« À la fois contre-utopie hystérique et récit du passage à l’âge adulte, ce roman est diablement saisissant du début à la fin… Un récit si finement tissé qu’il est possible que vous renoncerez à jamais à vous faire des mèches pendant l’été. »
Margaret Atwood
« wow-haha-eek! »
Clin d'oeil
« Une étrange pandémie a peu à peu transformé les femmes à la chevelure blonde en tueuses sauvages. Tirée par les cheveux, cette histoire ? C'est le cas de le dire, et c'est tout le charme de ce récit apocalyptique qui critique avec mordant les standards de beauté modernes. »
Coup de pouce
« On sourit, parfois jaune, en lisant ce récit grinçant qui souligne efficacement certaines de nos préoccupations les plus futiles. »
La Presse
« Son humour noir est dévastateur. [...] Très bien traduit (par Éric Fontaine), Les Blondes permet d’aborder de nombreuses questions : la maternité, l’adultère, la vie en quarantaine, les sujets de thèse, les Canadiens vus par les Américains et même les vitrines des boutiques American Apparel. »
Les méconnus
« L’ouvrage, truffé de clins d’oeil à la culture populaire et aux idées reçues, est à la fois très divertissant et d’une grande sensibilité, et le sens du suspense de l’auteure saura vous garder accroché jusqu’à la fin. Un livre à lire, pour la justesse des observations et les éclats de rire. »
Nightlife
« Une variation originale sur le thème de l’invasion zombie, doublée d’une satire grinçante sur la féminité. »
Le Journal de Montréal
« Dans ce roman qui décoiffe, Emily Schultz réussit à nous faire dresser les cheveux sur la tête en donnant un tout nouveau sens à l’expression « se crêper le chignon » ! »
Le Droit
« Ce qui aurait pu être un exercice totalement échevelé devient, sous les coups de ciseaux et de peignes ainsi que l’application d’une couche de laque suavement appliquée ici et là par Mme Schultz, un roman au style indéniablement personnel et des plus colorés. »
TéléJournal - Radio-Canada
« C’est mordant! C’est comparé à Margaret Atwood pour le féminisme et c’est très très bon. »
Coop Zone
« Si vous cherchez une lecture divertissante et un peu décalée, Les Blondes vont vous combler! »
Les libraires
« Satire apocalyptique, roman d’apprentissage dystopique, suspense catastrophe à l’humour irrésistible. »
Lire - ARTV
« Une héroïne à laquelle on s’attache tout de suite. »
L'actualité
« À partir de cette histoire aussi palpitante qu’un thriller médical et aussi angoissante qu’un film de zombies, Emily Schultz réussit à tirer une admirable leçon de solidarité féminine. L’épidémie de rage sert ici de métaphore au ras-le-bol de la femme-objet et, pour cette raison, Les Blondes mérite une place d’honneur auprès de La servante écarlate, de Margaret Atwood, et autres grands romans féministes d’anticipation. »
Plus on est de fous, Radio-Canada
« C’est rocambolesque, on dirait un film et c’est aussi parfois très comique. »
Flèche Mag
« Un roman à la fois drôle, original et inquiétant. Difficile d’en dire plus sans vendre la mèche… »

Emily Schultz
«Je pense que pour beaucoup de femmes, leurs cheveux et leur identité sont étroitement liés. C'est une des raisons pour lesquelles j'ai choisi les cheveux comme véhicule pour la maladie dans le livre – car indépendamment de la couleur, la plupart des femmes sont fortement…

Blondes sur Blondes
Lorsque Éric traduisait mon roman Les Blondes de l'anglais au français, j'étais à Brooklyn et lui à Montréal. C'était la première fois qu'on traduisait une de mes œuvres de fiction, et j'ai été ravie de suivre le processus et de voir le résultat définitif. La traduction d'Éric Fontaine est…

La blonde en moi
Il y a sept ans, je me suis assise sur une chaise de mon salon de coiffure habituel, Shampoo, au Kensington Market, je me suis tournée vers ma coiffeuse, Laura, et lui ai demandé : «Peux-tu me faire ressembler à Grace Kelly?»« Hmm », a marmonné…