Cette cinquième saison du balado (aparté) se penche sur un moment charnière dans la vie d’un·e jeune écrivain·e : la publication d’un premier roman.Comment sait-on qu’un manuscrit est terminé? Comment choisit-on…
Entrez dans l’univers de nos collaborateurs et collaboratrices le temps d’un balado, et découvrez tout ce que vous désiriez savoir sur l’édition sans jamais avoir osé le demander.
Cette cinquième saison du balado (aparté) se penche sur un moment charnière dans la vie d’un·e jeune écrivain·e : la publication d’un premier roman.Comment sait-on qu’un manuscrit est terminé? Comment choisit-on…
La série d’(aparté) le balado se poursuit avec trois épisodes sur une vocation à la fois romantique, prosaïque et pleine de possibilités : le métier de libraire. Est-ce que les libraires passent vraiment leur journée à lire? Est-il plus facile de « matcher » une personne avec une autre, ou avec un livre? Quels sont les côtés méconnus du métier?
La série d’(aparté) le balado se poursuit avec trois épisodes sur un métier méconnu mais essentiel : la révision-correction. Les auteurs sont-ils vraiment des as de la grammaire? Les anglicismes sont-ils tous nos ennemis? Qu’est-ce qu’une anacoluthe? Et pourquoi est-il si doux d’être révisé ?
La série d’(aparté) le balado se poursuit avec trois épisodes sur l’édition, ou l’art de « socialiser » un texte. Quel degré d’implication, voire d’intrusion est approprié de la part d’un éditeur ? Comment porte-t-on à la fois le chapeau d’auteur et d’éditeur ? De quelle manière intervient-on sur un texte poétique ? Et l’honnêteté radicale est-elle la meilleure ligne de conduite ?
Publier un livre est un fascinant travail de collaboration entre auteurs, illustrateurs, traducteurs, éditeurs, réviseurs… Entrez dans leur atelier le temps d’un balado créé par les éditions Alto. Cette série commence par trois épisodes sur la traduction, ou l’art de faire voyager les livres entre les langues. Comment fait-on pour traduire un jeu de mot ? La traduction est-il un acte colonisateur ? Faut-il être une personne empathique pour réussir une bonne traduction ? Et pourquoi les auteurs anglophones font-ils une fixation sur les phrases courtes ?