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« Si on devait comparer Le sous-majordome à un film, ce serait certainement Princess Bride , qui réussit à conter une aventure palpitante tout en se moquant des films d’aventures. À l’instar de ce long métrage, il échappe à toute classification. Le roman de DeWitt est une sorte de conte de fées sans qu’on y trouve beaucoup de magie; agrémenté de légères touches gothiques, cet ouvrage rappelle le roman d’aventures, bien qu’on puisse aussi le qualifier de roman initiatique, mais issu d’une époque qui précède celle où tous les romans initiatiques avaient pour protagonistes de jeunes hommes de Brooklyn qui apprenaient qu’il valait peut-être mieux ne pas coucher à gauche et à droite.
Dans Le sous-majordome , il y a une gente demoiselle, un soldat cruel, un baron fou, un château délabré, des pickpockets futés, des serviteurs énigmatiques, une mystérieuse correspondance, des amours malheureuses, d’infâmes trahisons et plein d’autres choses auxquelles vous avez déjà songé, bref, un creuset de vieux restes européens dans lequel se forge un récit d’une cohérence parfaite et superbe, pourvu que vous ne fassiez pas preuve d’un souci trop scrupuleux de l’authenticité, de la même manière qu’Edward Gorey nous livre l’Angleterre victorienne, ou les Decemberists, des chants traditionnels de marins. »
Daniel Handler (alias Lemony Snicket, auteur de la série Les désastreuses aventures des orphelins Baudelaire), The New York Times
Échos
« Une comédie délicieusement loufoque! […] Une histoire à la fois fantasque et fantastique qui a réussi à nous rappeler les contes du génial écrivain italien Italo Calvino. »
Karine Vilder, Le Journal de Montréal
« Imaginez un parent du Candide de Voltaire qui se baladerait dans le monde des frères Grimm avec, en guise de décor, le Grand Budapest Hotel de Wes Anderson. Vous auriez là une idée du ton, du style du Sous-majordome , le nouveau roman de Patrick deWitt. »
« Avec ce roman aussi ludique qu’initiatique, où résonnent les accents d’un Edgar Allan Poe, d’un Calvino, ou d’un Kafka (voire d’un Bram Stoker…), Patrick deWitt, après le succès de son inoubliable roman, Les Frères Sisters , fait une nouvelle fois la preuve d’un exceptionnel tempérament d’écrivain capable de mettre tous les schémas du conte au service d’une passionnante exploration du monde ténébreux des passions humaines, entre dérision, fantaisie et cruauté. »
« Patrick deWitt nous offre ici une autre de ses irrésistibles inventions ludiques sous forme de conte gothique. »
Martine Desjardins, L'actualité
« Avec son humour noir et ses personnages toujours singuliers, l’auteur des Frères Sisters a encore une fois trouvé la recette parfaite. »
Cloé Hurtubise, Impact Campus
« Beaucoup d’humour, beaucoup de cynisme […] On a l’impression d’être dans un univers de conte de fée, mais qui aurait mal tourné… un conte de fée sur l’acide! »
Anne Michaud, Radio-Canada, Les matins d'ici
« Descriptions colorées, intrigue amusante, scènes éhontément étranges et répliques piquantes dessinent les contours d’une vision ludique. »
Dominic Tardif, Le Devoir
« C’est très bien écrit, il y a beaucoup d’esprit. »
Marc Cassivi, Esprit critique, ARTV
« J’ai beaucoup aimé. […] C’est un mélange entre un conte, une espèce de comédie d’humeur et un livre de croissance personnelle. […] C’est une réflexion par rapport à la capacité de l’amour à pouvoir avilir un homme. »
Luis Clavis, Radio-Canada, Plus on est de fous, plus on lit!
« Roman d’aventures, conte gothique ou récit initiatique? Inutile de classer un inclassable. Une chose est certaine, Le sous-majordome a beaucoup pour plaire (peu importe ce qu’il est)! »
Victor Caron-Veilleux, Les libraires
« Disons sans détour que Le sous-majordome est un récit trépidant, drôle, pénétrant, émouvant et génial. »
Daniel Handler, The New York Times
« deWitt livre un autre tour de force fascinant, irrésistible et provocant qui plaira à quiconque souhaite être happé par un texte brillant et divertissant. »
« D’une précision déconcertante et unique en son genre, deWitt fait surgir des images à la fois sombres et hilarantes. Bizarre et fougueux, cet ouvrage carbure à l’humour noir. »
« Une approche moderne et mûrement réfléchie du conte folklorique… Ce récit glisse subtilement de Tolkien à Stoker, avec un soupçon de Conan Doyle et de nombreuses touches humoristiques… Désopilante et jouissive, la fable de deWitt propose un divertissement intelligent qui marie des moments enjoués à des réflexions plus profondes sur la condition humaine… »
« Les amateurs des Frères Sisters se réjouiront du retour des dialogues pince-sans-rire et de la violence extravagante et presque bouffonne de deWitt. »
« deWitt se sert de schémas narratifs familiers pour faire naître chez le lecteur le faux sentiment de se retrouver en terrain connu tout en livrant avec une pétulante bonne humeur un récit pleinement achevé, sans cesse surprenant et irrésistiblement drôle où s’entremêlent désir, amour, folie et joie sans borne. »
« deWitt est un maître de la structure épisodique. Avec lui, la fable prétendument puérile devient un jeu d’une extraordinaire complexité sociale et psychologique. »
« Avec le mélange de fantaisie et de romantisme noir qui le caractérise, Le sous-majordome avait peu de chances de captiver un adepte de l’interprétation littérale comme moi. C’est du moins ce que je croyais. J’ai eu terriblement tort. À partir de l’incipit sans fausses notes, l’atmosphère inhabituelle et la narration cocasse de deWitt nous plongent dans un univers romanesque tout à fait unique… Pour le lecteur, le défi consiste alors à résister à la tentation de dévorer ce roman qu’on devrait plutôt savourer. »
«On y fait la rencontre d’une galerie de personnages hallucinante, mettant entre autres en scène Lucy, quittant son village natal pour un nouvel emploi au château d’Aux. Un conte pour adultes qui plonge le lecteur dans un monde farfelu et coloré!»
Alex Beausoleil, Ici ARTV
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