Corps conducteurs
$18.00 – $18.99
Corps conducteurs de Sean Michaels
L’apocalypse surviendrait qu’il ne s’en rendrait pas compte. Séquestré dans une cabine du Stary Bolchevique voguant vers Leningrad, un inventeur écrit une missive à Clara, son aimée. Scientifique, espion, musicien, maître de kung-fu et prisonnier, Léon Thérémine est avant tout amoureux. Comme les notes de l’invention qui porte son nom, les mots qu’il adresse à celle qu’il aime voyagent dans les airs, traces éthérées de son cœur déchiré entre la Russie et New York, Carnegie Hall et le goulag, la science et l’inexpliqué.
Avec la maestria d’un virtuose, Sean Michaels mêle l’histoire et la légende dans ce premier roman couronné par le prix Giller. Plus qu’un concerto pour cœur seul, Corps conducteurs montre que l’amour, comme la musique, est une puissante invention.
Traduit par Catherine Leroux
Titre original: Us Conductors
Où je cherche le cœur de Clara Rockmore,
mon seul et unique amour, la plus grande joueuse de thérémine que le monde connaîtra jamais.
Échos
L'actualité
« Comme une trame musicale, la plainte irréelle du thérémine accompagne les scènes marquante du roman [...]. Ces notes d'une justesse absolue font de Corps conducteurs une œuvre à la musicalité aussi électrisante que magnétique, qui, en donnant une voix au thérémine, nous rend sa sonorité étrange presque familière. »
Nightlife
« Léon Thérémine, est le personnage principal, tout à fait fascinant, de ce roman ample et beau qui embrasse l’ambition d’un homme, les visées séductrices de la Russie communiste sur l’Ouest mais surtout le formidable amour entre Clara Rockmore, la plus grande joueuse de thérémine, et Thérémine lui-même. Bravissimo! »
Lectures et châtiments
« Jubilatoire! »
Esprit critique
« J'ai vraiment été séduit par ce roman. »
« Sean Michaels revisite l’histoire de Léon Thérémine avec juste ce qu’il faut de distorsion et d’invention, en traçant une parabole fascinante qui va des années folles jusqu'à la guerre froide. Un roman incroyable et addictif, écrit avec un sens aigu du rythme. »
The Globe and Mail
« Corps conducteurs est un roman aux proportions épiques et alors que nous faisons des sauts dans le temps, Michaels absorbe le lecteur grâce à une imagerie inspirée qui peint des tableaux de différentes scènes. Pour être complétement honnête, j’ai oublié que je ne lisais pas une autobiographie et me suis plongé dans l’histoire comme si elle racontait des faits historiques. Michaels a un don naturel pour nous transporter dans une époque et un lieu où nos croyances peuvent être mise de côté, afin de parcourir tout le chemin avec lui. »
Kirkus Reviews
« Tant la voix que les histoires qu’elle raconte transcendent les artifices poussiéreux que présentent certains romans historiques, résultant en un roman à la fois rafraîchissant et intemporel. »
La Presse
« Corps conducteurs est donc un roman d’amour, un amour impossible, un amour inventé. Bien ancré, cependant, dans une histoire impliquant de vrais personnages historiques, l’inventeur russe Léon Thérémine et sa muse américaine Clara, à une époque où tous les rêves étaient permis. »
Le Droit
« Par la trame fictive de ces Corps conducteurs, [Sean Michaels] a su recomposer à sa manière le parcours de Léon Termen, l'inventeur de l'intrigant thérémine, entre histoires d'amour et d'espionnage. »
Les matins d'ici, Radio-Canada
« C'est un roman magnifique, tellement bien écrit, presque musical dans son écriture, et extrêmement bien traduit par Catherine Leroux. »
Plus on est de fous, plus on lit! Radio-Canada
« Un roman inspiré! »
Le Monde
« Couronné par le prix Ciller, la plus prestigieuse récompense décernée à un romancier canadien anglophone, Corps conducteurs n’est donc pas seulement le portrait d’un savant pris dans les rets de l’Histoire. C’est aussi une histoire d’amour impossible entre l’inventeur et l’interprète fétiche du thérémine, Clara Rockmore. Répétons-le : la littérature est aussi un corps conducteur. »
Bazzo.tv
« Ce livre figure maintenant dans mon top 3! »
Bazzo.tv
« J’ai adoré ça! Une histoire en or! »
Bazzo.tv
« Tout m’a enchanté! »
Journal Métro
« Ce roman récompensé du Prix Giller (et traduit impeccablement en français par l’auteure québécoise Catherine Leroux) est porté par un souffle gigantesque. »
Le Figaro
« Formidable premier roman. »
Voir
« Sean Michaels parvient à construire son roman avec brio, jouant sur différents temps narratifs en gardant bien le lecteur dans l’angle mort de la révélation. »
Les libraires
« Ce roman – à la fois histoire d’amour et d’espionnage, biographie romancée et hymne à la musique – démontre la grande maîtrise de l’auteur. Captivant! »
Catherine et Laurent
« Un roman que j’ai beaucoup apprécié […] traduit avec finesse par Catherine Leroux. »
Carnet d'une libraire
« Corps conducteurs est un roman musical envoûtant! Avec un sens aiguisé du rythme et une plume de chef d’orchestre, l’auteur-virtuose, Sean Michaels, nous raconte le parcours pas banal du tout de l’inventeur russe Lev Sergueïvitch, que l’on connaît aujourd’hui sous le nom de Léon Thérémine, créateur de l’instrument éponyme. »
Burn Your Life
« Ce qui nous fascine tant dans ce bouquin, c’est l’énorme talent de Sean Michaels. Son écriture caméléon colle à merveille aux sentiments de son héros, nous laisse un poids sur l’estomac, instille un poison insidieux ou nous transporte dans un romantisme exacerbé sans que nous puissions y résister. »
Le Devoir
« Et des gratte-ciel de Manhattan aux confins de la Sibérie, mêlant kung-fu, amour sans retour et espionnage, Sean Michaels applique de façon magistrale à la littérature la première loi de la thermodynamique : rien ne se perd. »
Télérama
« Dès les premières pages, on est séduit par l’union de l’émotion et de la science, de la fantaisie littéraire et de la composition musicale. L’enchantement tient jusqu’à la postface, qui confirme le triomphe de l’imagination sur le reste du monde. »
Le journal de Québec
« Premier roman époustouflant. »
Rolling Stone
« Sean Michaels signe avec finesse et habileté un formidable roman à la confluence des genres. Captivant. »
Les libraires
« Une fascinante histoire menée avec brio et sensibilité, entremêlant savamment vérité et fiction. »
Archambault
« Laissez-vous emporter comme je l’ai été en lisant cet étonnant roman, gagnant d’un prix Giller et remarquablement traduit par Catherine Leroux. Vous serez surpris! »
Les méconnus
« L’histoire de ce livre est pleine de rebondissements : aventures, amour, action. Un James Bond plus amoureux que charmeur, meilleur érudit qu’espion. Sean Michaels a choisi de s’inspirer d’une vie incroyable, et y est allé de sa propre musique, d’un sens du punch à chaque fin de chapitre et de dialogues forts. »
Les Libraires
«Un roman grandiose, sublime, musical et électrisant où les rêveurs et les amoureux se rencontrent autour d’un verre de scotch, au son du piano et des ondes fluctuantes»
Sean Michaels
Le premier roman de Sean Michaels, Corps conducteurs (Prix Scotiabank Giller), est paru le 12 janvier 2016 chez Alto, dans une traduction de Catherine Leroux. Découvrez dès aujourd’hui un auteur mélomane et un roman où s’amalgament kung-fu, thérémine, espionnage et amour.
Mélanie Langlois nous parle de Corps conducteurs
Corps conducteurs est un roman musical envoûtant! Avec un sens aiguisé du rythme et une plume de chef d'orchestre, l'auteur-virtuose Sean Michaels nous raconte le parcours pas banal du tout de l'inventeur russe Lev Sergueïvitch, que l'on connaît aujourd'hui sous le nom de Léon Thérémine, créateur de l'instrument éponyme. Si…