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Le temps des sucres
$13.99 – $22.95
Le temps des sucres de Martine Desjardins
Chaque printemps, le temps des sucres exige le tribut d’une victime sur l’autel de son culte. Il s’agit parfois d’un cerf, étranglé dans les tubulures qui courent entre les troncs, parfois d’un arbre, parfois d’un homme.
À Saint-Calixa, dans une forêt maudite abandonnée par les moines trappistes il y a près de deux siècles, la famille Lacerte récolte la sève d’érables centenaires pour en extraire un sirop aux propriétés singulières. Lorsque Guillaume, le dernier de la lignée, revient au village après trente ans d’absence, il est entraîné dans un monde rustique dont les rituels archaïques mettent sa virilité à l’épreuve et le rapprochent dangereusement des terribles secrets ancestraux.
Avec Le temps des sucres, Martine Desjardins s’amuse à mêler les codes du folk horror aux dogmes masculinistes, et assène un grand coup de hache à une tradition séculaire figée dans la tire.
Coup de coeur Renaud-Bray
Club des Irrésistibles
Un homme doit se mesurer à la Nature avant de connaître le bout de ses forces.
Échos
Le Devoir
★★★★ 1/2
«Martine Desjardins semble s’amuser ferme ici en créant un monde aussi pathétique qu’émouvant dans lequel tous les codes du folk horror — isolement, superstitions, sacrifices, paganisme — valsent habilement sur fond d’humour rustique, chargé de grossièretés et d’animalité.»
La Presse
«On retrouve dans ce roman qui se lit d’une traite le talent de Martine Desjardins pour créer une ambiance inquiétante à coup de vocabulaire précis et d’images évocatrices.»
Dessine-moi un matin, Radio-Canada
«On est dans un roman de métamorphose qui nous entraîne dans une réflexion sur la masculinité. C'est fait avec tellement d'habileté par Martine Desjardins.»
Radio-Canada
«C’est une autrice qui a une plume à la fois mystérieuse et occulte, sur la ligne entre le réel et le fantastique. C’est vraiment un bon livre. À partir de la première page, on ne peut pas le lâcher. On veut savoir où elle va nous amener. On le sait en le lisant que ça ne sera pas nécessairement là où on le pense. C’est ce que j’aime vraiment beaucoup de la littérature de Martine Desjardins.»
Radio-Canada
«Nous-mêmes, le lecteur, au fil des pages, on se sent presqu'un peu collant, mal à l'aise, on sent qu'il y a quelque chose de sinistre qui flotte sur le roman. J'ai trouvé ça trop court!»
