Moi, ce que j'aime, c'est les monstres
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Moi, ce que j’aime, c’est les monstres de Emil Ferris
Chicago, fin des années 1960. Karen Reyes, dix ans, admire les fantômes, les vampires et autres morts-vivants. Elle s’imagine même être un loup-garou : plus facile, ici, d’être un monstre que d’être une femme. Le jour de la Saint-Valentin, sa séduisante voisine, Anka Silverberg, se suicide d’une balle dans le coeur. Mais Karen n’y croit pas et décide d’élucider cette mort suspecte. Elle va vite découvrir qu’entre le passé d’Anka dans l’Allemagne nazie, son propre quartier prêt à s’embraser et les drames tapis dans l’ombre de son quotidien, les monstres, bons ou mauvais, sont des êtres comme les autres, ambigus, torturés et fascinants.
Journal intime d’une artiste prodige, Moi, ce que j’aime, c’est les monstres est un kaléidoscope brillant d’énergie et d’émotions, l’histoire magnifiquement contée d’une fascinante enfant au coeur du Chicago en ébullition des années 1960. Dans cette oeuvre magistrale, tout à la fois enquête, drame familial et témoignage historique, Emil Ferris tisse un lien infiniment personnel entre un expressionnisme féroce, les hachures d’un Crumb et l’univers de Maurice Sendak (Max et les maximonstres).
Traduit par J.-C. Khalifa
Titre original: My Favorite Thing is Monsters
«Emil Ferris est une des plus grandes artistes de bande dessinée de notre temps.»
Art Spiegelman
Échos
Tout le monde en parle
«Exceptionnel.»
«Absolument stupéfiant!»
La Presse +
«Arrivée de nulle part, au terme d’une série d’épreuves qui auraient découragé n’importe qui, Emil Ferris a bousculé les conventions du roman graphique avec Moi, ce que j’aime, c’est les monstres, œuvre magnifique et bouleversante, qui est un éloge de l’art, de la différence et de la résilience.»
15-18 | Radio-Canada
«C'est absolument prodigieux. Tout le monde s'entend pour dire que c'est un chef-d'oeuvre. Elle y a mis tout son coeur, toute son âme, cela lui a pris six ans et on sent que c'est l'oeuvre d'une vie.»
RDI Matin
«Un roman graphique sur la différence et la résilience. Magnifique oeuvre à découvrir.»
Métro
«Ce récit bouleversant est magnifiquement raconté dans de sublimes illustrations, entièrement réalisées au stylo bille (!), qui font de chacune des quelque 400 pages de ce roman graphique une véritable œuvre d’art.»
The Guardian
«Moi, ce que j’aime, c’est les monstres est un premier roman graphique surhumainement ambitieux... Il ne menace pas seulement de faire voler en éclats les standards actuels de l’excellence, mais bien d’en établir de nouveaux.»
Le Devoir
«Oeuvre monstre, chemin de rémission pour son auteure, cette fable vient dédramatiser la différence. [...] À travers le riche récit qui nous emmène de l’Allemagne des années Weimar au meurtre du pasteur King, Ferris propose, avec Moi, ce que j’aime, c’est les montres, une nouvelle façon de présenter et consommer le 9e art.»
Chicago Tribune
«Un roman palpitant, d’une profondeur surprenante... Le livre est un équilibre subtil entre visuels éblouissants et écriture formidable.»
Les libraires
«Cette bande-dessinée est une oeuvre remarquable (...) Une oeuvre singulière et complètement envoûtante.»
Plus on est de fous, plus on lit! | Radio-Canada
«Avec ce roman, elle réussit le tour de force de saisir l’ambiguïté de la société des années 60. C’est un chef d’oeuvre parce qu’on découvre quelqu’un qui est à un seuil de maturité rare. […] Une première oeuvre colossale avec des personnages qui ont des psychologies très denses. […] Une traduction extraordinaire.»
Lettres québécoises
«Emil Ferris non seulement développe une signature graphique flamboyante, mais propose également une vision de l’histoire de l’art qui met de l’avant la multiplicité des perspectives. […] Ambitieuse et réussie, l’œuvre d’Emil Ferris développe une réflexion intelligente sur l’histoire de l’art, mais, surtout, valide la diversité des expériences personnelles vis-à-vis de celle-là. Un défi brillamment relevé.»
Dessine-moi un été ! Radio-Canada
«C’est fabuleux! L’histoire est passionnante dans un Chigaco à la fin des années 60.»
The New Yorker
«Ce livre n’est pas seulement le premier roman graphique d’Emil Ferris, c’est également sa première œuvre publiée… Pour autant, sa maîtrise de la bande dessinée, ses dessins explosifs et son sens précis de la narration la place d’emblée parmi les plus grands artistes du 9e art.»
Libération
«Mon amour pour ce livre commence par le dessin. La façon qu’a eue Emil Ferris de surgir de nulle part, d’apparaître avec un trait aussi accompli, aussi parfaitement développé, cela semble irréel. J’aime profondément sa façon de dessiner, comme elle parvient à s’inspirer de la bande dessinée du passé pour proposer quelque chose de parfaitement nouveau.»
BDGest
«Emil Ferris est un monstre, un monstre de précision du trait et de profusion des sentiments, une auteure surgie de nulle part (enfin presque) et déjà portée aux firmaments par ses pairs.[…] Emil Ferris fait preuve d’une technicité incroyable et d’une culture artistique indéniable qui lui permettent d’explorer un registre graphique des plus surprenants où la minutie côtoie l’émotion.[…] Alliant une puissance visuelle rare à une qualité d’écriture qui ne peut être le fait d’un simple concours de circonstances, Moi, ce que j’aime, c’est les monstres constitue une œuvre à part, hors-normes, à l’écart de ce qu’il est communément possible de lire en matière de BD.»
Magazine Voir
«Moi, ce que j’aime, c’est les monstres est une oeuvre touffue et brillante où Emil Ferris parvient à marier culture populaire et histoire de l’art avec une esthétique singulière, voire unique. S’y perdre est un grand bonheur de lecture.»
Culture Club, Radio-Canada
«C’est vraiment fabuleux, c’est vraiment un grand livre, et pas seulement un roman graphique, un roman.»
Journal de Montréal
«C’est l’un de nos plus gros coups de cœur de l’année. À découvrir sans faute.»
Châtelaine
«Remarquable, Moi, ce que j’aime, c’est les monstres l’est autant que son autrice, l’Américaine Emil Ferris.»
Magazine Voir
«L’un des incontournables de l’automne.»
Les Méconnus
«Roman graphique flirtant avec la bande dessinée, œuvre empreinte d’une grande liberté mais aussi d’un message, livre d’amour et de colère[…] Il suffit de l’avoir entre ses mains et de tourner les premières pages pour savoir que l’on tient là quelque chose de particulièrement original et, surtout, de très fort.»
Elle Culture
«Un roman graphique unique en son genre qui dévoile un talent extraordinaire.»
Le Clap Magazine
«Moi, ce que j’aime, c’est les monstres est une oeuvre puissante et d’une rare profondeur. […] Truffée de trouvailles visuelles et scénaristiques, de références à l’histoire et à l’art, l’oeuvre de Ferris est un voyage dense, éblouissant et troublant. Un chef d’oeuvre!»
Le Devoir
«Meilleure bédé de l’année, vous dites ? Plutôt de la décennie ! […] Si l’histoire est addictive, le dessin majestueux de Mme Ferris — entre Otto Dix et Daniel Clowes —, entièrement exécuté au stylo-bille, hisse le livre au rang d’oeuvre d’art.»
Pieuvre.ca
«Au-delà de sa splendeur graphique, Moi, ce que j’aime, c’est les monstres propose un récit puissant et touchant.[…] Bien plus qu’une simple bande dessinée, Moi, ce que j’aime, c’est les monstres est une véritable œuvre d’art qui transcende le médium. Faites-vous plaisir et découvrez ce livre magistral, qui pourrait bien être l’un des romans graphiques les plus importants des quinze dernières années.»
Les bouquins d'abord, CKRL
«Tout est lié, c’est fascinant. J’ai déjà hâte de le relire. […] C’est d’une richesse infinie.»
Plus on est de fous, plus on lit
«C’est extraordinaire. Le dessin est tellement fort!»
Fugues
«Un récit d’une grande richesse où le visuel se dispute à une complexité narrative étonnante. Certaines pages sont presque de la nature d’une fresque tant le souci du détail y est poussé et nul doute que les découvertes se multiplieront au fil des relectures. Une œuvre imposante!»
Le Mouton Noir
«[…] ce roman graphique a toutes les caractéristiques d’un chef-d’oeuvre. Iconoclaste, émouvant et d’une beauté à couper le souffle, [il] est à la bande dessinée ce qu’un Château d’Yquem 2009 est aux Sauternes : un grand cru qui se déguste langoureusement en sachant bien qu’une fois la coupe vide, on en sera à jamais marqué.»
Journal Le Phoque
« Cet ouvrage sort des sentiers connus de la bande-dessinée classique en nous emmenant par la main pour une balade au pays des monstres. »
Revue Collections
«Livre magistral, qui ne laisse personne indifférent, Moi, ce que j’aime c’est les monstres intrigue des milliers de lecteurs par ses va-et-vient entre fiction et réalité.»
Les libraires
«Emil Ferris [...] vous surprendra par ses dessins magistraux réalisés au stylo à bille et son scénario qui met en scène les aventures d’une enfant atypique dans le Chicago des années 1960.»
Comment tout a commencé
En 2002, Emil Ferris, mère célibataire et illustratrice, fête son quarantième anniversaire en compagnie d’amis. Elle se fait piquer par un moustique et ne reprend ses esprits que trois semaines plus tard à l’hôpital. On lui diagnostique une méningo-encéphalite causée par l’une des formes les plus graves…
Fiche de lecture
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