Tarquimpol
$13.99 – $22.95
Tarquimpol de Serge Lamothe
Hanté par la possibilité que Franz Kafka ait pu, en 1911, séjourner au château du célèbre occultiste Stanislas de Guaïta, un chercheur décide de se rendre en Lorraine, dans le minuscule village de Tarquimpol, nid de mystères éternellement recouvert d’un épais brouillard. Mais la vérité ne se laissera pas facilement débusquer et, à l’instar des personnages du célèbre romancier, il sera confronté à des énigmes qui le dépassent.
Kafka n’est jamais bien loin.
Du Québec à la France, sur les chemins du cœur innombrable, Serge Lamothe tisse le récit d’une quête amoureuse et littéraire d’une grande finesse et s’interroge avec humour : « Peut-on vraiment, sans avoir à mentir, aimer plusieurs personnes à la fois, avec une affection et une tendresse égales ? » Alya, Laurie, René et Li Wei n’ont pas de réponse toute faite, ni de mode d’emploi pour vivre cette passion monstre, ce polyamour; mais tous sont prêts à tenter l’aventure de la tribu. Ces nuits de folles caresses, leurs corps soudés dans une étreinte sulfureuse, les laisseront criblés de plaisir, ravagés de bonheur et dévastés d’amour.
Drapé dans le brouillard, le mystère de Tarquimpol demeure entier.
C'est quoi l'amour?
C'est comment?
Elle réfléchit.
Échos
Ici
« La plume de Lamothe est toujours difficile à oublier, mais dans cette histoire d’amour utopique et impossible à la fois, elle est d’une dextérité et d’une qualité totalement admirable. Les phrases s’agrippent au cœur, à la peau, pour former autant d’îlots auxquels on veut s’accrocher pour comprendre la vie, l’amour, la mort… »
Québec français
« Avec Tarquimpol, Serge Lamothe signe un roman qui plonge le lecteur dans un mystère qui prend une dimension quasi-mystique. Cela est d’autant plus louable que la quête de vérité est associée à une réflexion d’une rare acuité sur l’amour, la fidélité, le plaisir, la mort et l’écriture. »
Canada français
« L’écriture de Lamothe est envoûtante, au point où elle ne peut laisser indifférent et, qu’une fois qu’on en a lu et apprécié quelques pages, on en redemande sans vraiment être rassasié. Quelle prose! »