Sous béton
$12.99 – $20.95
Sous béton de Karoline Georges
Depuis sa naissance, l’enfant est enfermé dans une minuscule cellule, au 804 du 5969e étage de l’Édifice.
Autour de lui, que du béton, sans ouverture sur l’extérieur. Et deux présences : le père qui s’abrutit de plus en plus et la mère qui redoute l’expulsion. Immobile dans son dortoir, l’enfant est bouleversé par une transformation qui lui révélera un horizon inattendu.
Dans une prose à la poésie implacable, Karoline Georges interroge le devenir de l’humain à travers une expérience littéraire inédite, à la frontière du récit d’anticipation et du roman d’apprentissage futuriste. Personne n’émerge indemne de Sous béton.
Mon nouvel oeil se posait partout avec une attention d'une profondeur affolante. S'enfonçant sous chair, sous béton, pour s'ouvrir sur quelque chose d'imperceptible.
Échos
La Presse
« Assez inclassable, cet exercice d’écriture qu’on ne peut percevoir comme un traditionnel roman d’anticipation, tant l’inquiétante étrangeté qui s’en dégage pourrait tout autant appartenir au fantastique, au roman psychologique, qu’à une expérience poétique. Il se pourrait bien que Karoline Georges ait crée un nouveau genre, le roman claustrophobe, mais elle prouve que malgré toutes les contraintes, un écrivain peut créer les mondes les plus impensables par la seule force de son imagination. »
Le Devoir
« Sous béton, le plus récent récit de Karoline Georges, est un inclassable croisement littéraire. Un récit génétiquement modifié, dont l’ADN comprend une souche de poésie, une filiation aux scripts de sci-fi (pensez Big Brother et Soleil Vert) et des restes de fable sur la naissance de la singularité, de la liberté individuelle et de la philosophie.[...], c’est l’OVNI littéraire de la rentrée. »
Livres Hebdo
« Karoline Georges [...] décline ici la grammaire de la littérature d’anticipation, post-apocalyptique, avec ambiance de paranoïa orwellienne doublée de terreur de désastre écologique et de phobie d’une vie sans biologie dans un monde de plus en plus dématérialisé. [...] Un vertige entêtant. »
Voir
« Ovni littéraire, dira-t-on et on entendra, pour une rare fois, le mot ovni au sens propre, car c’est avec une incrédulité fascinée – la même que si on avait entrevu une soucoupe dans le ciel – que l’on émerge de Sous béton. »
FM93
« C’est un chef-d’oeuvre ! »
La librairie francophone
« C'est un roman qui est fort, intense, personnel. Je ne peux que remercier l'auteure pour ce diamant brut. »
Moi
« Avec sa prose à la fois dure et magnifique, Karoline Georges, une artiste québécoise multidisciplinaire, nous livre un récit lucide sur l’état de confinement et sur la capacité d’adaptation de l’être humain. »
7 jours
« Des effluves de 1984, de George Orwell, nous parviennent de cet excellent roman au style glaçant et sombre,.. comme le béton. »
Voir
« Récemment par exemple, j'ai lu Sous béton, de Karoline Georges, un roman qui depuis m'habite. Moins pour le récit comme tel que pour la part d'imaginaire, pour cette façon qu'a l'auteure de rendre l'abstrait concret. En fait, je lis des écrivains dont je suis jalouse, parce qu'ils font des choses que je ne saurais pas faire! »
Revue Collections
«Karoline Georges est une voix unique de la littérature québécoise. [Sous béton est] une sorte de fable métaphysique postmoderne très réussie, qui rejoindra aisément les amateurs de fictions intellectuelles exigeantes cérébrales.»