Un lundi sans bruit
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Un lundi sans bruit de Max Férandon
Mon premier dresse un pont entre le nouveau millénaire et la Seconde Guerre, entre le parcours d’une peinture volée et une poignée d’arnaqueurs arnaqués, quelques exilés et des origamis volants.
Mon deuxième se passe souvent un lundi dans un village embrumé où les gens, les objets et les mimes arrivent par accident.
Mon troisième est un tableau burlesque où sont esquissés des personnages hauts en couleur dans un paysage plein de ratures, de lignes de fuite, de fautes graves, de petites corrections et de fines parenthèses sur l’art d’être humain.
Mon tout forme un récit tonique à savourer cul sec.
Si vous n’avez pas décrypté cette drôle de charade, ce n’est pas grave. Certaines choses sont plus belles drapées dans une énigme. L’auteur de Monsieur Ho, cet imprévisible dompteur de mots, nous a encore joué un joli tour.
Il est parfois étonnant de constater à quel point certains villages déambulent.
Échos
Les libraires
« Un récit doux, festif et léger comme une meringue. »
Coup de pouce
« Un récit fantaisiste où l’auteur joue habilement avec les mots en nous transportant bien au-delà de l’histoire. Un bouquin qu’on lit tranquillement pour ne perdre aucune miette de sa douce folie. »
La Presse
« Par son style où les calembours, blagues et clins d’œil sémantiques recouvrent d’un vernis amusé deux types de récits qui demandent généralement sérieux et déférence, Max Férandon ne réinvente pas le genre, mais amène le lecteur dans son univers déjanté et savoureux. Une lecture parfaite pour s’évader par un lundi de pluie. »
Journal Métro
« Maître de l’art du calembour, Max Férandon nous comble encore une fois avec la richesse de sa prose et l’originalité de son récit. On a déjà hâte au prochain! »
Le Devoir
« Un roman cartoonesque et léger qui entraîne le lecteur dans une amusante pétarade d’actions, de saillies de langage et d’humour à la chaîne. »
L'actualité
« En prenant les mots comme terrain de jeu et l'imaginaire comme parc d'attractions, Max Férandon multiplie les calembours et se révèle le digne héritier de Jacques Prévert et Raymond Queneau. »
Les méconnus
« Un lundi sans bruit, est un roman léger, un peu comme les peintures de Kahlo qui, sous un style naïf, renferment une réflexion sur l’envers de l’image. […] Ce nouveau roman de Max Férandon fera une parfaite lecture d’été pour les adeptes de revirements linguistiques et de personnages hauts en couleurs. »
Le lundi
« Jeux de mots et calembours parsèment ce roman finement ciselé. Un grand plaisir de lecture! »
Thomas Bossard
Né à Poitiers, Thomas Bossard habite maintenant Toulouse, où il a travaillé quelques années comme peintre-décorateur pour le Théâtre du Capitole, après avoir complété sa formation de concepteur graphiste et d'infographiste au Centre art et industrie de la Chambre de commerce de Tourcoing. L'artiste se consacre désormais presque…