

Le département des théories fumeuses
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Le Département des théories fumeuses de Tom Gauld
Anachronismes délicieux, comiques coups du sort et hybridations improbables composent, entre autres rigolotes anomalies, l’ADN de l’humour de Tom Gauld. Armé de son crayon et d’un large spectre de références qui vont de l’époque victorienne au monde des Jedi et des épées laser, l’inimitable bédéiste dessine un monde décalé d’une apparente simplicité, mais d’une lucidité désarmante.
Comme il l’a fait avec les sœurs Brontë et Shakespeare dans les pages du journal The Guardian, Tom Gauld s’est amusé avec les nanorobots et les théorèmes insolubles dans la revue internationale New Scientist. Rassemblées dans ce nouvel ouvrage dédié à son grand-père biologiste, ses planches donnent un relief humoristique — voire métaphysique — au monde de particules et de lois immuables dans lequel l’humanité tente tant bien que mal d’évoluer.
Traduit par Éric Fontaine
Titre original: Department of Mind-Blowing Theories
Échos
Shelf Awareness
« La science peut-elle être drôle ? En regardant les pages du Département des théories fumeuses de Tom Gauld, lauréat d’un prix Eisner, nous sommes bien obligés de répondre par un oui retentissant. »
The New York Times
« Au cours des dernières années, le style de Gauld est devenu reconnaissable instantanément. Ses personnages incarnent une sorte d’humain ordinaire qui se tient debout face aux institutions et aux mœurs sociales dont Gauld révèle l’absurdité. »
Plus on est de fous, plus on lit!
« À une époque où on questionne énormément la science, et pas toujours pour les bonnes raisons, [Tom Gauld] déboulonne des mythes et rend les scientifiques juste humains, avec leurs peurs et leurs craintes. […] Ça fait du bien à lire, [c]’est très réussi! »
Les Libraires
« Comme toujours avec Gauld, c’est fin, adroit et détonnant. »

Dans l’atelier de Tom Gauld
« Pour moi, la façon la plus agréable de passer un après-midi est de remplir une page d’un de ces carnets sans avoir de but réel en observant simplement où vagabonde mon esprit. » Vous avez dû vous éloigner de votre studio (et, bien sûr, de la…