C S Richardson

L'empereur de Paris

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L’Empereur de Paris de CS Richardson

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ISBN : N/A

À l’aube du XXe siècle, dans une boulangerie du VIIIe arrondissement, les Notre-Dame préparent leur fournée selon une recette transmise de père en fils. Mais ceux-ci partagent aussi une tare : Octavio, comme son paternel, ne sait pas lire, ce qui ne les empêche pas de mitonner les plus fabuleux récits, peuplés de sirènes italiennes et de tapis volants.

Fille de tailleur élevée dans le culte de l’apparence, défigurée par accident, Isabeau Normande redonne aux tableaux leur beauté d’antan, tapie dans la pénombre des sous-sols du Louvre. Elle en émerge seulement, cachée sous son foulard de soie, pour lire au jardin des Tuileries.

Autour d’eux valse une étonnante tribu parisienne : un horloger à bésicles, un musicien de jazz rescapé des tranchées, un peintre fauché, un bouquiniste entremetteur, quelques commères et plusieurs âmes charitables. Si l’amour l’emporte au final, le charme de ce récit bon comme un croissant chaud réside surtout dans le détail du chemin qu’il emprunte. Avec la ferveur d’un miniaturiste, l’auteur de La fin de l’alphabet signe un somptueux tableau impressionniste sur la transmission des passions.

Traduit par Caroline Lavoie

Titre original: The Emperor of Paris

Échos

Kim Thúy

Aparté

« Il ne faut surtout pas lire L’empereur de Paris. Il faut juste suivre ses mots. Comme on suit l’odeur du pain qui cuit dans le four d’une boulangerie de quartier, ou juste se laisser flatter par ses phrases comme la peau s’abandonne à la caresse d’une brise. Ou se livrer à sa voix qui nous guide dans une valse, en frôlant doucement notre corps avec un mouvement du bassin, une pression de la main, un simple souffle. Si nous entrons dans cette danse, nous sommes immédiatement propulsés dans la vie bouillonnante d’un Paris de rêve, d’un Paris rêvé, qui se déploie dans toute son élégance et sa finesse. Il ne faut pas juste lire ce livre. Il faut le respirer, le vivre, l’habiter en empereur. »

The National Post

« À chaque mot, à chaque image, ce roman s’illumine avec l’intensité d’un rêve. »

La Presse

« Des personnages esquissés avec délicatesse et sensibilité, de belles descriptions du Paris du début du XXe siècle et des contes débordants d’imagination fleurissent autour de l’amour des livres et de la passion de l’art. ★★★ »

Châtelaine

« L'empereur de Paris, son deuxième livre, possède la même grâce magique que le premier et rappelle le climat de L'ombre du vent, livre-culte de l'espagnol Carlos Ruiz Zafon. »

Lettres québécoises

« Le roman est servi par l'excellente traduction de Caroline Lavoie. Pour dire la vérité, on a l'impression que le livre a été écrit en français. »

Journal Métro

« Une histoire d'amour qui ravira les enivrés du mythe parisien. »

Made in Québec

« C’est un roman d’une fine délicatesse. Une écriture digne des grands romanciers d’une autre époque. [...] Les personnages sont attachants et le plaisir de lire y était à chaque page. Un beau roman à découvrir. »

L'empereur de Paris

La face cachée de l’empereur

Peut-être que tout ça a commencé avec la photographie. Ou le nom du protagoniste. À moins que ce ne soit avec le décor. La vérité est que cinq années ont passé depuis que j’ai commencé l’écriture de mon second roman et que j’ai de la difficulté à me souvenir…

Kim Thúy nous parle de L'empereur de Paris

Il ne faut surtout pas lire L'empereur de Paris. Il faut juste suivre ses mots. Comme on suit l'odeur du pain qui cuit dans le four d'une boulangerie de quartier, ou juste se laisser flatter par ses phrases comme la peau s'abandonne à la caresse d'une brise. Ou se livrer…

Photo de CS Richardson. Crédit : Jeff Cheong

Auteur

C S Richardson

Auteur et concepteur graphique établi à Toronto, grand amateur d’art et de belles choses, Charles Scott Richardson a vu son travail maintes fois récompensé. Il a entre autres remporté le Prix du Commonwealth du premier roman avec The End of the Alphabet (La fin de l’alphabet, traduction de Sophie Voillot) publié dans une quinzaine de pays. Il fut également finaliste aux prix littéraires du Gouverneur général dans la catégorie traduction pour ce dernier. Son deuxième roman, The Emperor of Paris (L’empereur de Paris, traduction de Caroline Lavoie) a été désigné meilleur livre de l’année par le Globe and Mail et sélectionné pour le prix Giller de la Banque Scotia.

Crédit photo : Jeff Cheong

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