Notre part de nuit
$16.99 – $27.95
Notre part de nuit, par Mariana Enriquez
Un père et son fils traversent l’Argentine, dévastés par la mort de la femme et de la mère qu’ils aimaient, pour en affronter l’héritage terrifiant. Liés malgré eux à une société secrète séculaire commettant l’indescriptible dans leur quête de la vie éternelle, Juan et Gaspar tentent de distancier leur destin. Mais échappe-t-on à la fatalité, et à quel prix?
Authentique épopée à travers le temps et le monde, où l’Histoire et le fantastique se conjuguent dans une même poésie de l’horreur et du gothique, Notre part de nuit est un livre comme il en existe peu : un récit de filiation, habité de fantômes, imprégné de fétichisme, exhumant les dessous les plus sinistres de l’humanité. Mariana Enriquez repousse les limites du roman et impose sa voix magistrale, quelque part entre Cormac McCarthy et Stephen King.
Traduit par Anne Plantagenet
Titre original: Nuestra parte de noche
★★★★★
«Roman monstre au souffle dévastateur, Notre part de nuit célèbre, comme peu de textes avant lui, les noces (funèbres) de l’horreur et de la grande littérature.»
Lire Magazine Littéraire
Échos
«Notre part de nuit s’empare avec ingéniosité du vocabulaire de l’horreur et du surnaturel pour en faire la voix capable d’articuler l’indicible histoire de l’Argentine.»
Le Devoir
«Sur les ruines fumantes des dictatures argentines, malaxant l’horreur et l’histoire, Mariana Enriquez échafaude un roman puissant […], un étrange colosse qui embrasse anglophilie macabre, spiritisme, fascination homoérotique et folklore guarani.»
«Un des romans les plus noirs et les plus cruels que j'ai lus dans les dernières années.»
Télérama
«Un maelström apocalyptique dans l’Argentine de la dictature, où se mêlent sexe et métaphysique, rêves et folie. Terrifiant… et ensorcelant. […]Un livre monstre. Sa beauté cruelle ravage bien-pensances et certitudes; son intelligence crépusculaire chahute l’espace-temps jusqu’au vertige. On s’y perd dans l’effroi.»
Mariana Enriquez ouvre toutes grandes les portes du placard où l’Argentine a caché ses squelettes et nous en recrache une vision aussi terrible qu’hallucinée.
Lettres québécoises
«Rarement aura-t-on rencontré un mélange aussi ambitieux de littérature ésotérique, de culture guarani (une langue autochtone transfrontalière d'Amérique du Sud), de fascination homoérotique et de tant d'autres choses qu'il serait trop long de résumer. Il faudra, pour vous en rendre compte, boire à votre tour à ce sombre calice des messes basses. À vos risques et périls.»
Le Point
«[Mariana Enriquez] réinvente avec une virtuosité éblouissante les codes du gothique et de l’horreur – proches de Stephen King, donc, mais aussi des histoires de fantômes à la Henry James ou Shirley Jackson –, tout en revivifiant la grande tradition du récit latino-américain. […] Hypnotique, obsédant et sublime. »
Vanity Fair
«Notre part de nuit, premier roman de Mariana Enriquez, texte alchimique et abyssal, se lit comme un texte fantastique gothique, une odyssée politique ou une réflexion sur cet héritage impossible que nos pères ont laissé.»
Lire Magazine Littéraire
«Baroque, outrancier, choquant, Notre part de nuit est, avant tout, un roman captivant et foncièrement libre, libérateur, qui transcende le genre pour mieux en célébrer les vénéneuses splendeurs.»
«Durant toute ma lecture, je me suis dit que Mariana Enriquez possédait une imagination à nulle autre pareille. Je n’ai encore rien lu de tel [...] C’est fort, c’est un voyage au bout de la nuit, c’est un navire rempli de bêtes terribles qui avance au fil des pages. Âmes sensibles, abstenez-vous.»
Solaris
«Rarement j'ai pu voir dans un roman une plus habile confluence entre fantastique et Histoire.»
Châtelaine
«Une saga familiale surnaturelle sur un fond de crise politique. Enlevant.»
Regarder l’horreur en face
C’est une photo que l’on n’oublie jamais. En 1985, elle a fait la une des magazines et quotidiens du monde entier. On y voit une adolescente agrippée à une branche d’arbre, le corps immergé dans une eau trouble. Elle semble calme mais son regard, braqué sur l’objectif du…