Variations endogènes
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Variations endogènes de Karoline Georges
Ils sont nombreux. Parmi eux, l’une attend sa naissance, l’autre est à l’apogée de son existence. Il y a quelques fous, des amants, un milliardaire, des enfants livrés à eux-mêmes. Ils sont animés par des intentions cruelles, sadiques, morbides ou masochistes. Ils tendent des pièges, mettent en scène leurs fantasmes, s’épuisent à poursuivre un idéal illusoire. Ils sont isolés. Ils s’apprêtent à mourir ou à commettre l’irréparable. Ils sont peut-être déjà morts.
Assemblés avec minutie par une auteure au regard aussi tranchant qu’une lame, les quatorze tableaux de Variations endogènes forment un fascinant cabinet de perversités.
Comment les gens peuvent-ils être certains qu'ils ne veulent pas mourir s'ils ne connaissent pas encore la mort?
Échos
La Presse
« Si les chocs de lecture vous intéressent, c’est le moment de découvrir une écrivaine qui n’a pas beaucoup d’équivalents dans le paysage littéraire québécois. [...] Malgré la dureté de ses thèmes, on prend vraiment plaisir à lire ces effrois diaboliquement construits. Car il ne faut pas s’y tromper, les aspirations de Karoline Georges sont plutôt lumineuses. »
Les Méconnus
« Des tableaux? Des scènes? Des nouvelles? Difficile de qualifier ces quatorze textes de Karoline Georges rassemblés dans Variations endogènes. Néanmoins, tous brillent de la même tension qui prend le lecteur à bras le corps et le tient en haleine jusqu’à la fin. » »
Coop Zone
« Sans contredit, le texte le plus sombre de la saison. On admire cette écriture toujours aussi radicale dans sa forme autant que son propos. Âmes sensibles s’abstenir! »
Journal Mobiles
« Si vous croyez que la littérature peut construire l'expérience humaine, faire réfléchir, ressentir, réagir, vous trouverez, selon moi, de quoi vous satisfaire. »
Le Devoir
« Nous voici gagnés par cet art de la surprise, du punch bien senti. [...] Très forte, Karoline Georges, pour nous pousser dans nos propres retranchements. [...] Se cachent aussi de petits bijoux, tels Le rituel, qui traite d'inceste d'une façon détournée, et surtout Le retour, redoutable d'efficacité dans l'horreur commandée par la vengeance. Marguerite Duras n'est pas loin pour ce qui est du grand frères voyou préféré par la mère. Mais c'est Stephen King qui finit par prendre le dessus. Intéressante, aussi, l'histoire de L'autoportrait, qui n'est pas sans rappeler l’image de la burqa de chair chez Nelly Arcan. »
CIBL
« Une littérature qui vient déranger, qui a du souffle et qui vient aussi couper le souffle du lecteur. »
Les libraires
« On craque pour ces histoires cruelles, tordues, morbides, très bien ficelées, qui se dévorent d'un trait. »
Radio-Canada
« Bravo Karoline Georges, c’est réussi ce recueil de nouvelles! »
CIBL
« J’ai eu beaucoup de plaisir à le lire. Pourquoi? Parce que l’auteure a le talent d’interpeller le lecteur. […] Elle remue nos certitudes. […] Elle nous fait complètement basculer au dernier moment et c’est une fin complètement différente qui nous prend au dépourvu. […] C’est très habile. Je lui tire mon chapeau et je lui dis : Bravo! Bravo! »
Impact Campus
« Ce cabinet des perversités comme l’appelle Georges se trouve pourtant à être des plus captivant. »
Salon double
« Karoline Georges maîtrise son sujet avec brio, elle mène ses récits tambour battant. […] Les chutes surgissent ici à point nommé, plongeant le lecteur dans un effroi que les pages précédentes avaient tâché d’attiser. »
Brins d’éternité
« Cet opus constitue une excellente porte d’entrée dans l’univers obsédant de Karoline Georges. »
Perrine Leblanc nous parle de Variations endogènes
Karoline Georges est une amie. Lire le livre d'un ami et évoluer sur le fil de fer à quelques mètres du sol, c'est presque la même chose : un exercice périlleux. On voudrait aimer le livre, mais on n'aime pas toujours. J'étais à Paris, dans un appartement du 9e, derrière…
Karoline Georges
Entretien avec Karoline Georges sur les sources d'inspiration des textes de Variations endogènes, ainsi que sur sa démarche artistique.