Le temps des sucres de Martine Desjardins dans les médias
Les coups de coeur littéraires - Radio-Canada
«C’est une autrice qui a une plume à la fois mystérieuse et occulte, sur la ligne entre le réel et le fantastique. C’est vraiment un bon livre. À partir de la première page, on ne peut pas le lâcher. On veut savoir où elle va nous amener. On le sait en le lisant que ça ne sera pas nécessairement là où on le pense. C’est ce que j’aime vraiment beaucoup de la littérature de Martine Desjardins.»
Chloé Larouche de la Librairie Harvey, C'est jamais pareil - Radio-Canada
Deux mots : un 51e état imaginé par Catherine Leroux
Le 51e état raconté par des écrivains - La Presse
«C’était des gens de mots. Des infirmières qui avaient sauvé des vies avec une parole bienveillante, des aînées qui avaient sauvé des peuples avec un récit. C’était des profs, des vendeuses, des beaux parleurs, des téléphonistes, des inventeurs, des voyageuses. C’était des poètes, tous autant qu’ils étaient. Ils savaient qu’un mot pouvait faire trembler la terre.»
Catherine Leroux, La Presse
La Capitale des rêves dans les médias
«La Capitale des rêves» : Les fées poètes - Le Devoir
«Traduit avec la finesse coutumière de Dominique Fortier, ce conte est un chant à la beauté cabossée, une parabole puissante sur le pouvoir de la littérature quand tout chancelle.»
«La guerre dans La Capitale des rêves n’est pas seulement celle des armes. C’est celle des récits, des corps, des transmissions. Une lutte contre l’effacement, contre l’oubli et contre la perte du sens. O’Neill ne cède jamais au didactisme. Elle tisse ici une fable lucide, où la violence et la tendresse s’enchevêtrent comme les branches des arbres sacrés de l’Élysée.»
Marie-Élaine Guay, Le Devoir
«La Capitale des rêves»: voici le roman attendu de la Montréalaise Heather O’Neill qui y propose une aventure dans un pays imaginaire en guerre - Le Journal de Montréal
«La Capitale des rêves, un roman multicouche, finement ouvragé, procure un émerveillement constant même si les sujets traités sont difficiles.»
Marie-France Bornais, Le Journal de Montréal
Heather O'Neill et Dominique Fortier : La Capitale des rêves - Il restera toujours la culture, Radio-Canada
«Y'a tellement de couches, y'a tellement de sujets [...]. Ça parle de guerre, ça parle de maternité. C'est une lettre d'amour à l'art.»
Émilie Perreault, Il restera toujours la culture
L'infinie foi en l'art de Heather O'Neill - La Presse
«Heather O’Neill croit profondément qu’un livre peut changer le monde, parce que des livres ont déjà changé le sien.»
Dominic Tardif, La Presse
Deux nouvelles des Dangers de fumer au lit de Mariana Enriquez adaptées en un film présenté à Sundance
Laura Casabé et son approche originale du cinéma - La Revue Internationale
«Sous la direction de Laura Casabé, un climat lourd et moite donne vie à un scénario elliptique concocté par le célèbre réalisateur local, Benjamin Naishtat.»
Marc Lefebvre, La Revue Internationale
Critiques Les terres indomptées
On lit quoi ? Avec Chrystine Brouillet : Les terres indomptées de Lauren Groff - Il restera toujours la culture
«C'est un livre qui est hypnotique.»
Chrystine Brouillet, Il restera toujours la culture
«Les terres indomptées» : survivance sauvage à l'époque coloniale - Le Devoir
«Que reste-t-il de si spécial à l’Européenne loin des siens, loin de ceux qui l’ont terrifiée par leur barbarie, qui lui ont appris que le territoire est antagoniste, que la beauté réside dans les cathédrales et dans l’artifice, que les Premiers Peuples sont des êtres cruels à civiliser ? Que reste-t-il quand Dieu se confond au bruit des cascades qu’un ours contemple avec émerveillement ?»
Florence Bordeleau-Gagné, Le Devoir
Quand la réalité rattrape la fiction
La liberté d'évincer - Pivot
«Dans son roman Peuple de verre, paru l’an dernier, la romancière Catherine Leroux dépeint la vie de milliers de Montréalais·es dans une dystopie pas si loin de notre réalité. Elle met en scène une ville où la spéculation immobilière a provoqué une crise du logement si forte que la majorité de la population n’est plus capable de se loger convenablement et où des centaines d’immenses camps de fortune jonchent la ville.
Une ville où, un peu comme chez nous, la liberté est monnayable. Une ville dans laquelle on n’est libre qu’à condition d’avoir le pouvoir de l’argent.»
Francis Dolan, Pivot
Dominique Fortier, présidente d'honneur du Salon du livre de l'Outaouais 2025
Une écrivaine à la rencontre de «tous les amoureux du livres» - Le Droit
«C’est la première fois qu’on offre à l’écrivaine et traductrice de présider un événement. Elle cite une phrase d’Emily Dickinson,"Hope is the thing with feathers" pour exprimer comment la thématique du SLO — Tous les espoirs sont permis ― résonne en elle. "Pour moi, cette chose-là à plume, c’est les livres aussi. Les livres sont des choses qui permettent de s’envoler."»
Claudia Blais-Thompson, Le Droit
Alto a 20 ans !
Antoine Tanguay «éditeur d'étonnant» depuis 20 ans - Radio-Canada
«En deux décennies, Alto a réussi à se distinguer dans le monde de l’édition avec "
étonner" comme leitmotiv.»Patricia Tadros, Radio-Canada
«Je veux étonner, je veux détonner dans l’édition», disait Antoine Tanguay lorsqu’il cherchait la ligne éditoriale de son entreprise au tournant de l’an 2000. «Je veux que les gens disent qu'il y a l’édition, mais il y a aussi [les éditions Alto], qui sont un peu inclassables.»
Rencontre avec le fondateur des éditions Alto - Radio-Canada
«Bruno Savard s'entretient avec Antoine Tanguay,le fondateur des éditions Alto, qui fait rayonner les auteurs d’ici et d’ailleurs à partir du quartier Saint-Roch.»
Étude pour l'obéissance de Sarah Bernstein
On lit quoi ? Avec Elsa Pépin : Étude pour l'obéissance de Sarah Bernstein - Il restera toujours la culture, Radio-Canada
«C'est un roman absolument singulier, qui ressemble à rien que j'ai lu avant, qui possède les qualités des grandes oeuvres littéraires, je dirais dans le sens qu'il cultive l'ambiguïté et le mystère.»
Elsa Pépin, Il restera toujours la culture
Un brillant exercice d'introspection - La Presse
«La Montréalaise d’origine, qui enseigne la littérature en Écosse, réussit un impressionnant exercice d’équilibriste dans ce court texte qui nous arrive maintenant traduit par Catherine Leroux — avec brio, faut-il préciser, dans une langue très recherchée où les longues phrases toujours rythmées coulent avec une grâce naturelle.»
Laila Maalouf, La Presse
Sarah Bernstein, obéissante et assassine - Le Devoir
«Énigmatique, cyclique et baigné d’une atmosphère inquiétante magnifiquement rendue par la traduction de Catherine Leroux, Étude pour l’obéissance a été couronné du prix Giller, en plus de se retrouver finaliste du prestigieux prix Booker.»
Anne-Frédérique Hébert-Dolbec, Le Devoir
Matrix de Lauren Groff
“Matrix”: amours saphiques et transes mystiques - Le Devoir
«★★★★ - Sublime roman où la narration alterne de manière fluide entre une voix omnisciente [...], Matrix s’avère un brillant hommage à une grande dame de lettres nimbée de mystères auquel s’ajoute une vibrante apologie du pouvoir féminin sur fond de merveilleux, d’amour courtois et de guerres sanglantes.»
Manon Dumais, Le Devoir
Chronique radio d'Elsa Pépin - Il restera toujours de la culture
«Matrix c’est une ode à la puissance créatrice féminine et à la sororité sous la forme d’un roman mystique médiéval. C’est vraiment improbable comme prémisse, mais c’est extraordinaire, vraiment, elle a imaginé une vie héroïque à Marie de France, qui est la première femme de lettres d’expression française.»
Elsa Pépin, Il restera toujours de la culture
Autoportrait d'une autre d'Élise Turcotte
«Élise Turcotte, dompteuse de chaos dans «Autoportrait d'une autre» - Le Devoir
«Une “cathédrale de questions” — sur la folie, la honte, le concept de muse et la création artistique — qui se double, dans Autoportrait d’une autre, à de nombreux questionnements éthiques, intimes et littéraires. Peut-on parler de quelqu’un qui a existé ? Est-il décent de parler de soi ? Et quelle forme donner à cette fausse enquête ?»
Christian Desmeules, Le Devoir
Critique de Philippe Manevy - Lettres québécoises #190
«Cultivant, à la manière des surréalistes, les “hasards objectifs” et l’esthétique du choc, [Élise Turcotte] trouve sans doute la forme la plus précise pour dire la femme plurielle et l’artiste en perpétuel devenir qu’a été Denise Brosseau.»
Philippe Manevy, Lettres québécoises
La messagère de Thomas Wharton
«La messagère» : pour que chantent les oiseaux - Le Devoir
«[ll] serait juste d’avancer que ce dense et colossal roman pluriforme — on va du
Manon Dumais, Le Devoir
carnet de bord au guide de voyage, en passant par la description d’un jeu de table
— exige une lecture attentive et patiente.»
Chronique radio de Jérémy Laniel - Il restera toujours de la culture
«On va plonger dans des récits de vie qui entrecroisent le réel et une certaine mythologie : Platon et les jeux vidéo immersifs, l’exploitation de la terre par l’homme et une énième grande extinction qui pourrait être la nôtre.»
Jérémy Laniel, Il restera toujours de la culture
Les 6 meilleurs livres à lire en septembre 2023 - L'actualité
«Ce roman est constellé de personnages fascinants qui réagissent aux problèmes écologiques chacun à leur façon. L’importance accordée aux oiseaux et à leur quête singulière — sauver l’humanité, rien de moins ! — intrigue et captive.»
Julie Roy, L'actualité
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