Nouveau

Catherine Leroux

Peuple de verre

$16.99$27.95

Peuple de verre, par Catherine Leroux

Effacer
ISBN : N/A

Se loger est devenu un luxe. Des travailleurs et des familles vivent dans des camps de fortune. Des bombes explosent, des gens disparaissent. Sidonie, une journaliste frondeuse, braque les projecteurs sur ces zones d’ombre, jusqu’au jour où elle se retrouve de l’autre côté du miroir, dans un lieu où on héberge ceux qu’on appelle désormais « les inlogés  ».

Hors du monde et hors du temps – que reste-t-il  ? Il reste le stylo.

Dans une langue féroce et ardente, Catherine Leroux explore les notions de chez-soi et de survie, multiplie les couches narratives et les surprises, jouant avec ses lecteurs autant qu’avec son rôle d’autrice.

Échos

Anne-Frédérique Hébert-Dolbec

Le Devoir

« Avec ce roman à l’architecture et aux thématiques ambitieuses, Catherine Leroux multiplie les surprises et les couches narratives pour remettre en question les notions de chez-soi, de survie et de vérité. »

Olivier Boisvert

« C'est l'impossibilité de la résistance qui s'abîme dans ce roman beau et dur aux sédiments multiples. »

Josée Lapointe

La Presse

« [D]e livre en livre, Catherine Leroux déploie son écriture riche et ample au profit d’une profondeur qui ne se dément pas. »

Claudia Hébert

Dessine-moi un matin

« [Peuple de verre], ça se lit comme un thriller, avec une bonne dose de critique sociale [...]. Tout ce qui se trouve dans les pages, c'est extrêmement riche: l'acuité des réflexions, la sensibilité de la romancière et le plaisir d'un bon bouquin. J'ai ouvert ça un samedi après-midi et je me suis redressée des heures plus tard une fois que j'étais rendue à l'autre couverture. C'est déjà dans mes lectures préférées de l'année. »

Julie Roy

L'actualité

« Dans ce roman dystopique, l’autrice montréalaise primée pose un regard imperturbable sur la crise du logement actuelle. Et ce qu’elle a imaginé donne froid dans le dos ! »

Émilie Perreault

Il restera toujours de la culture

« Un plaidoyer pour la liberté narrative, je dirais même radical. C'est de déployer son imaginaire sans contraintes. »

Marie Fradette

Le Devoir

« Roman social et philosophique, Peuple de verre est ainsi porté par des personnages écorchés, mais forts, qui parviennent à transcender la misère, à s’approprier une certaine liberté et à échapper, du moins le croient-ils, au monde froid et calculé qui leur est imposé. »

Léa Harvey

Le Soleil

« Entre les pages de Peuple de verre, Catherine Leroux fait [...] tanguer l’écriture entre la vérité et le mensonge. »

Stephen Renald

L'Avaleur De Livres

« C'est un pur bonheur de lire [Peuple de verre]. »

Yvon Paré

Littérature du Québec

« Une prise de parole fort entendue et nécessaire. »

Madame lit

« Je vous recommande certainement ce livre. Je n’oublierai pas de sitôt cette histoire, car elle m’apparaît plus vraie que nature. Je suis encore bouleversée, choquée. »

Jean-François Crépeau

Le Canada Français

« C'est aussi ça le rôle de la fiction littéraire: nous faire réfléchir aux situations extrêmes qui nous arrivent ou pourraient nous arriver sans crier gare. Catherine Leroux y parvient admirablement. »

Josée Boileau

Le journal de Montréal

« Tout cela nous trouble énormément parce que l’état du monde que décrit Leroux devait d’abord relever de la dystopie. Mais le véritable problème de l’itinérance a tellement gonflé pendant l’écriture du roman que la proposition radicale qui y est décrite semble tout à coup à portée de réalisation. On frémit. »

Annick Vermeau

La librairie francophone

« Cette histoire m'est apparue plus vraie que nature et je recommande vivement sa lecture. »

Jean-François Crépeau

Passion chronique

« C’est aussi ça le rôle de la fiction littéraire : nous faire réfléchir aux situations extrêmes qui nous arrivent ou pourraient nous arriver, parfois sans crier gare. »

Logements : une coupe à blanc

Ami·e·s de longue date, le photographe James A. Rosen et l'autrice Catherine Leroux ont vu le quartier de leur jeunesse se transformer. L'un et l'autre abordent la question de la crise du logement et des évictions dans leur travail. Conversation entre deux observateur·ice·s de l'impermanence

Photo autrice Catherine Leroux. Crédit : Justine Latour

Autrice | Traductrice

Catherine Leroux

Catherine Leroux est une romancière, scénariste, traductrice et éditrice née en 1979. Son roman Le mur mitoyen, paru en 2013, a été couronné du prix France-Québec, et sa version anglaise a été en lice pour le prix Scotiabank Giller. Publié en 2015, Madame Victoria a remporté le prix Adrienne-Choquette. L’avenir, paru en 2020, a reçu le prix Jacques-Brossard, et sa version anglaise a été mise à l’honneur au concours Canada Reads. Catherine Leroux a par ailleurs signé plusieurs traductions, dont Nous qui n’étions rien de Madeleine Thien, pour laquelle elle a reçu un Prix littéraire du Gouverneur général. Elle vit à Montréal.

Traductions : Le saint patron des merveilles, Mark Frutkin | Le coeur à retardement, Andrew Kaufman | Encore plus de superhéros, Andrew Kaufman | Corps conducteurs, Sean Michaels |  Les coups de dés, Sean Michaels | Nous qui n'étions rien, Madeleine Thien

Crédit photo : Justine Latour

Fiche de lecture

Une fiche de lecture est disponible pour ce titre.

Nouveau programme de récompenses d'Alto Cliquez ici pour plus d'information