

Blackwater IV - La Guerre
$10.99 – $18.95
La Guerre, le tome 4 de la série Blackwater par Michael McDowell
La guerre est finie, vive la guerre! Une nouvelle ère s’ouvre pour le clan Caskey: les années d’acharnement d’Elinor vont enfin porter leurs fruits; les ennemies d’hier sont sur le point de devenir les amies de demain; et des changements surgissent d’où personne ne les attendait. Le conflit en Europe a fait affluer du sang neuf jusqu’à Perdido. Désormais les hommes vont et viennent comme des marionnettes sur la propriété des Caskey, sans se douter que, peut-être, leur vie ne tient qu’à un fil.
Traduit par Yoko Lacour, avec la participation de Hélène Charrier
Titre original: Blackwater IV: The War
Une tête jaillit de la surface à une quinzaine de mètres de lui. Ce n’était pas Frances – ce n’était même pas humain. Elle disparut si vite que Billy se dit qu’il avait dû avoir une hallucination, tout en étant certain que ce n’était pas le cas.
Échos
Auteur et libraire
«Ça y est, j’ai terminé le tome 6 et je suis désemparé. Il y aurait pu y avoir 6 tomes de plus, ça ne m’aurait pas dérangé. J’ai dévoré cette fresque comme un bras d’enfant. J’ai adoré comme le fantastique et l’horreur sont savamment distillés pour appuyer les bouleversements émotionnels du récit et non comme des événements vides de sens. L’ensemble est habité par un souffle romanesque qui balaie tout sur son passage. Je suis trop triste que ce soit fini. Vivement que je vieillisse, que j’oublie ces livres, pour pouvoir les relire avec le même enthousiasme.»
Préface de l’édition parue chez Centipede Press, 2014
«La série Blackwater de Michael McDowell est son œuvre la plus étoffée, la plus luxuriante, des brassées de fleurs étranges liées entre elles par une racine certes nourricière, mais aussi tordue, celle de la famille. Aux lecteurs découvrant pour la première fois la famille Caskey : savourez ces sombres fleurs, leur parfum est entêtant et peut-être toxique, mais doux avec des notes de brise du Sud et d’argile rouge venue du fond de la Perdido. On pourrait s’y noyer…»
Too Much Horror Fiction
«Michael McDowell livre un riche roman historique où les récits se superposent, parsemé de touches Southern Gothic, rempli de personnages mémorables et d’exquises scènes de mort et de fracas.»
Auteur et critique
«Les points forts de McDowell sont nombreux. Sa prose est riche, allusive et souvent complexe, mais si bien polie qu’elle ne détourne jamais l’attention.»

Michael McDowell
Regard sur l’écrivain populaire et scénariste à qui l’on doit notamment Beetlejuice, maître de la littérature d’horreur entré dans l’histoire avec modestie.