Blackwater III - La Maison
$10.99 – $18.95
La Maison, le tome 3 de la série Blackwater par Michael McDowell
Perdido, 1928. Alors que le clan Caskey se déchire dans la guerre intestine et sans merci que se livrent Mary-Love et sa belle-fille, et que d’autres crises — conjugales, économiques, existentielles — aux répercussions défiant l’imagination se profilent, dans les recoins sombres de la maison d’Elinor, la plus grande de la ville, les mauvais souvenirs rôdent et tissent, implacables, leurs toiles mortelles.
Traduit par Yoko Lacour, avec la participation de Hélène Charrier
Titre original: Blackwater III: The House
Sans que Frances ne le veuille, sa tête se tourna vers la porte de l’étroit couloir qui reliait sa chambre à la chambre d’ami. Elle sut que quelque chose était parvenu à se glisser dans ce passage exigu et fermé. C’était là, et ce n’était pas une personne.
Échos
Auteur et libraire
«Ça y est, j’ai terminé le tome 6 et je suis désemparé. Il y aurait pu y avoir 6 tomes de plus, ça ne m’aurait pas dérangé. J’ai dévoré cette fresque comme un bras d’enfant. J’ai adoré comme le fantastique et l’horreur sont savamment distillés pour appuyer les bouleversements émotionnels du récit et non comme des événements vides de sens. L’ensemble est habité par un souffle romanesque qui balaie tout sur son passage. Je suis trop triste que ce soit fini. Vivement que je vieillisse, que j’oublie ces livres, pour pouvoir les relire avec le même enthousiasme.»
Préface de l’édition parue chez Centipede Press, 2014
«La série Blackwater de Michael McDowell est son œuvre la plus étoffée, la plus luxuriante, des brassées de fleurs étranges liées entre elles par une racine certes nourricière, mais aussi tordue, celle de la famille. Aux lecteurs découvrant pour la première fois la famille Caskey : savourez ces sombres fleurs, leur parfum est entêtant et peut-être toxique, mais doux avec des notes de brise du Sud et d’argile rouge venue du fond de la Perdido. On pourrait s’y noyer…»
Too Much Horror Fiction
«Michael McDowell livre un riche roman historique où les récits se superposent, parsemé de touches Southern Gothic, rempli de personnages mémorables et d’exquises scènes de mort et de fracas.»
Auteur et critique
«Les points forts de McDowell sont nombreux. Sa prose est riche, allusive et souvent complexe, mais si bien polie qu’elle ne détourne jamais l’attention.»
Michael McDowell
Regard sur l’écrivain populaire et scénariste à qui l’on doit notamment Beetlejuice, maître de la littérature d’horreur entré dans l’histoire avec modestie.