Prix littéraire

Michael McDowell

Blackwater I - La Crue

$10.99$18.95

La Crue, le tome 1 de la série Blackwater par Michael McDowell

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ISBN : N/A

Alors que les flots sombres et menaçants de la rivière submergent Perdido, une petite ville du sud de l’Alabama, les Caskey, une riche famille de propriétaires, doivent faire face aux innombrables dégâts provoqués par la crue. Mené par Mary-Love, la puissante matriarche, et par Oscar, son fils dévoué, le clan s’apprête à se relever. Mais c’est compter sans l’apparition, aussi soudaine que mystérieuse, d’Elinor Dammert, jeune femme séduisante au passé trouble, dont le seul dessein semble être de s’immiscer au cœur de la famille Caskey.

 

Traduit par Yoko Lacour, avec la participation de Hélène Charrier

Titre original: Blackwater I: The Flood

Prix Babelio : Littérature étrangère
Coup de coeur Renaud-Bray
Les libraires conseillent : sélection de mai 2022
Sélection Archambault
Sélection des 100 livres de 2022 selon « Lire magazine littéraire »

Échos

Grégoire Courtois

Auteur et libraire

«Ça y est, j’ai terminé le tome 6 et je suis désemparé. Il y aurait pu y avoir 6 tomes de plus, ça ne m’aurait pas dérangé. J’ai dévoré cette fresque comme un bras d’enfant. J’ai adoré comme le fantastique et l’horreur sont savamment distillés pour appuyer les bouleversements émotionnels du récit et non comme des événements vides de sens. L’ensemble est habité par un souffle romanesque qui balaie tout sur son passage. Je suis trop triste que ce soit fini. Vivement que je vieillisse, que j’oublie ces livres, pour pouvoir les relire avec le même enthousiasme.»

Louis Poulain

Info-Réveil

« Une ambiance cinématographique riche de descriptions visuelles hypers prenantes, et une atmosphère moite et poisseuse qui colle au chandail comme un jour d'été humide. [...] C'est une série impossible à lâcher au rythme soutenu où il se passe toujours quelque chose de grand. »

Manon Dumais

Le Devoir

★★★
« D’une écriture élégante, Blackwater séduit tant par ses descriptions vivantes et ses dialogues piquants que par ses personnages pittoresques. »

Shannon Desbiens

Les Libraires

« Coup de cœur immédiat à la vue de ces couvertures superbes et embossées, un format qui tient dans toutes les poches et un contenu qui annonce une série à couper le souffle, dans la lignée des romans mystérieux, un brin angoissant avec ce personnage venu de nulle part qu’est Elinor Dammert. »

Ariane Gélinas

Les Libraires

« Offert dans un écrin remarquable, chacun des tomes, de type « cabinet de curiosités » avec des sections embossées, charme les sens à la manière d’une fleur vénéneuse. Cette présentation en teintes rouille et argent accentue le contraste avec l’horreur qui déferle dans les pages tels les courants rouges de la rivière Perdido. Flots par lesquels j’ai été illico emportée, affamée de lire les tomes les uns après les autres comme ce qui patiente, insatiable, au fond des tourbillons. »

Julie Roy

L'actualité

« Cette saga américaine, qui a connu le succès à sa publication en 1983, n’avait encore jamais été traduite en français. [...] Dans une ambiance gothique qui rappelle l’horreur à la Stephen King, on découvre la richissime famille Caskey. [...] Le style clair et précis de McDowell n’a pas pris une ride. »

René Homier-Roy

Culture Club

« C'est une série absolument étonnante! [De la] taille d'un livre de poche et d'un luxe de présentation [...] on ne les rate pas sur les rayons de la librairie. »

Poppy Z. Brite

Préface de l’édition parue chez Centipede Press, 2014

«La série Blackwater de Michael McDowell est son œuvre la plus étoffée, la plus luxuriante, des brassées de fleurs étranges liées entre elles par une racine certes nourricière, mais aussi tordue, celle de la famille. Aux lecteurs découvrant pour la première fois la famille Caskey : savourez ces sombres fleurs, leur parfum est entêtant et peut-être toxique, mais doux avec des notes de brise du Sud et d’argile rouge venue du fond de la Perdido. On pourrait s’y noyer…»

Will Errickson

Too Much Horror Fiction

«Michael McDowell livre un riche roman historique où les récits se superposent, parsemé de touches Southern Gothic, rempli de personnages mémorables et d’exquises scènes de mort et de fracas.» 

Fabrice Collin

Lire magazine littéraire

« [...] Cette fresque intensément romanesque bouleverse, effraie, fascine et transporte. »

Macha Séry

Le Monde

« Michael McDowell se souciait fort peu de la postérité. Il se targuait d’être un “écrivain commercial”, un “artisan” dont le style était guidé par la recherche de clarté et de précision. Son dessein était aussi humble qu’ambitieux : procurer du plaisir aux lecteurs. Force est de constater que celui-ci demeure inentamé au fil des ans. Blackwater, c’est le plaisir retrouvé du roman-feuilleton. »

Clémentine Goldszal

Elle France

« À la façon d’un fleuve, le style de Michael McDowell coule de source, et il ne lui faut pas plus d’une dizaine de pages pour nous plonger dans ce petit monde. Morts (plus ou moins naturelles), mariages, naissances, maladies, luttes de pouvoir et d’influence, Michael McDowell tisse une fascinante histoire de transmission à rebours des conventions. »

Nathalie Crom

Telerama

« Métamorphoses et fantômes ne sont que quelques-uns des ressorts fantastiques qui irriguent ici le réalisme de surface, drapant de bout en bout Blackwater d’une inquiétante, délicieuse, irrésistible étrangeté. »

Alan Ryan

Auteur et critique

«Les points forts de McDowell sont nombreux. Sa prose est riche, allusive et souvent complexe, mais si bien polie qu’elle ne détourne jamais l’attention.» 

Chantal Fontaine

Les libraires

« Foi de libraire : si vous débutez cette saga familiale, vous serez hameçonnés! »

Jean-François Crépeau

Le Canada français

« Cette traduction en français [...] permet à un nouveau lectorat de découvrir ce classique aux thèmes forts – la condition féminine, la mixité raciale, le poids des traditions, l’environnement, la différence – toujours d’actualité. »

Archambault

« Une série fascinante et terrifiante de Michael McDowell »

Catherine Fruchon-Toussaint

Radio France Internationale

« Une saga familiale fantastique et terriblement addictive. »

Laila Maalouf

La Presse

« Cette fresque épique qui se déploie sur cinq décennies, dans le sud de l’Alabama, promet une atmosphère unique, empreinte de fantastique, à la croisée des univers de Gabriel García Márquez et de Stephen King. »

Manon Dumais

Pénélope

« C'est addictif, on s'attache aux membres de cette famille-là! »

Florence Dujoux

Véro magazine

« L’intrigue mystérieuse, les conflits familiaux, les thèmes transversaux, comme la lutte des classes, font de cette lecture accessible un excellent moment de divertissement. À glisser dans sa valise! »

Geneviève

Mon coussin de lecture

« Perdido est une ville poussiéreuse où les éléments fantastiques se distillent lentement. Jusqu’à ce qu’ils frappent. L’inattendu nous pend au bout du nez alors qu’on ne s’y attend pas. Quand tout semble trop calme, il faut se méfier! [...] Blackwater est une saga très intrigante. Si vous aimez les histoires familiales qui débordent un peu du cadre, c’est la lecture qu’il vous faut. »

Vol VIP

« Traversée de moments d'inquiétantes étrangeté, Blackwater se lit comme on dévore une série Netflix. »

Yvon Paré

Littérature du Québec

« Les romans de Michael McDowell sont des tourbillons où, pour une fois, des femmes décident. C’est rafraîchissant. Une belle lecture d’été pour tenir tête aux averses et aux orages, des intrigues qui se savourent sur une plage, les deux pieds dans le sable, à l’ombre d’un parasol. »

Shannon Desbiens

Mitsou Magazine

« Ce feuilleton aux accents historiques, familiaux et aussi fantastiques vous gardera rivé sur votre chaise et vous fera regretter de ne pas avoir immédiatement le prochain volume en main à la fin du livre en cours. »

Fugues

« [...] La saga présente un univers où pestilence et prospérité cheminent main dans la main tout en abordant des enjeux d'inégalité sociale et de sexisme sur fond de conflits familiaux et d'un surnaturel qui porte les couleurs vaseuses et oppressantes de la rivière qui borde la petite ville. »

Shannon Desbiens

Les libraires

«La crue installe des protagonistes aux personnalités marquantes, qui sont parfois attachants, mais souvent agaçants et à l’occasion mystérieux…»

Patrick Bergeron

Nuit blanche

«Une oeuvre en six volumes peut paraître monumentale, mais McDowell suscite si adroitement l'adhésion du lecteur que l'on poursuivrait volontiers la lecture pendant six autres tomes.»

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Une couverture embossée et estampée or, ornée de fins détails

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Blackwater I La Crue C1
Blackwater I La Crue C4
Blackwater I La Crue Détails
Michael McDowell © Ann McQueen

Michael McDowell

Regard sur l’écrivain populaire et scénariste à qui l’on doit notamment Beetlejuice, maître de la littérature d’horreur entré dans l’histoire avec modestie.

Michael McDowell © Ann McQueen

Auteur

Michael McDowell

Écrivain populaire et scénariste aguerri, Michael McDowell est né en 1950 en Alabama et s’est éteint en 1999 à Boston. Son oeuvre littéraire est composée de thrillers psychologiques, de romans d’atmosphère sur fond surnaturel, d’épopées historiques, d’histoires policières et d’oeuvres d’horreur gothiques. De janvier à juin 1983, Michael McDowell a fait paraître, à raison d’un livre par mois, la saga familiale Blackwater, dont le succès lui a ouvert les portes d’Hollywood. On lui doit l’histoire du film Beetlejuice, réalisé par Tim Burton, et des épisodes des émissions cultes Tales from the Crypt et Alfred Hitchcock Presents. Son dernier roman Candles Burning inachevé, a été complété par la romancière Tabitha King et publié en 2006. Sa vaste collection d’objets liés à la mort a été léguée à la Northwestern University de Chicago, où elle est exposée depuis 2013. 

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