Blackwater I - La Crue
$10.99 – $18.95
La Crue, le tome 1 de la série Blackwater par Michael McDowell
Alors que les flots sombres et menaçants de la rivière submergent Perdido, une petite ville du sud de l’Alabama, les Caskey, une riche famille de propriétaires, doivent faire face aux innombrables dégâts provoqués par la crue. Mené par Mary-Love, la puissante matriarche, et par Oscar, son fils dévoué, le clan s’apprête à se relever. Mais c’est compter sans l’apparition, aussi soudaine que mystérieuse, d’Elinor Dammert, jeune femme séduisante au passé trouble, dont le seul dessein semble être de s’immiscer au cœur de la famille Caskey.
Traduit par Yoko Lacour, avec la participation de Hélène Charrier
Titre original: Blackwater I: The Flood
Une atmosphère unique, à la croisée des univers de Gabriel García Márquez et de Stephen King.
Échos
Auteur et libraire
«Ça y est, j’ai terminé le tome 6 et je suis désemparé. Il y aurait pu y avoir 6 tomes de plus, ça ne m’aurait pas dérangé. J’ai dévoré cette fresque comme un bras d’enfant. J’ai adoré comme le fantastique et l’horreur sont savamment distillés pour appuyer les bouleversements émotionnels du récit et non comme des événements vides de sens. L’ensemble est habité par un souffle romanesque qui balaie tout sur son passage. Je suis trop triste que ce soit fini. Vivement que je vieillisse, que j’oublie ces livres, pour pouvoir les relire avec le même enthousiasme.»
Info-Réveil
« Une ambiance cinématographique riche de descriptions visuelles hypers prenantes, et une atmosphère moite et poisseuse qui colle au chandail comme un jour d'été humide. [...] C'est une série impossible à lâcher au rythme soutenu où il se passe toujours quelque chose de grand. »
Le Devoir
★★★
« D’une écriture élégante, Blackwater séduit tant par ses descriptions vivantes et ses dialogues piquants que par ses personnages pittoresques. »
Les Libraires
« Coup de cœur immédiat à la vue de ces couvertures superbes et embossées, un format qui tient dans toutes les poches et un contenu qui annonce une série à couper le souffle, dans la lignée des romans mystérieux, un brin angoissant avec ce personnage venu de nulle part qu’est Elinor Dammert. »
Les Libraires
« Offert dans un écrin remarquable, chacun des tomes, de type « cabinet de curiosités » avec des sections embossées, charme les sens à la manière d’une fleur vénéneuse. Cette présentation en teintes rouille et argent accentue le contraste avec l’horreur qui déferle dans les pages tels les courants rouges de la rivière Perdido. Flots par lesquels j’ai été illico emportée, affamée de lire les tomes les uns après les autres comme ce qui patiente, insatiable, au fond des tourbillons. »
L'actualité
« Cette saga américaine, qui a connu le succès à sa publication en 1983, n’avait encore jamais été traduite en français. [...] Dans une ambiance gothique qui rappelle l’horreur à la Stephen King, on découvre la richissime famille Caskey. [...] Le style clair et précis de McDowell n’a pas pris une ride. »
Culture Club
« C'est une série absolument étonnante! [De la] taille d'un livre de poche et d'un luxe de présentation [...] on ne les rate pas sur les rayons de la librairie. »
Préface de l’édition parue chez Centipede Press, 2014
«La série Blackwater de Michael McDowell est son œuvre la plus étoffée, la plus luxuriante, des brassées de fleurs étranges liées entre elles par une racine certes nourricière, mais aussi tordue, celle de la famille. Aux lecteurs découvrant pour la première fois la famille Caskey : savourez ces sombres fleurs, leur parfum est entêtant et peut-être toxique, mais doux avec des notes de brise du Sud et d’argile rouge venue du fond de la Perdido. On pourrait s’y noyer…»
Too Much Horror Fiction
«Michael McDowell livre un riche roman historique où les récits se superposent, parsemé de touches Southern Gothic, rempli de personnages mémorables et d’exquises scènes de mort et de fracas.»
Lire magazine littéraire
« [...] Cette fresque intensément romanesque bouleverse, effraie, fascine et transporte. »
Le Monde
« Michael McDowell se souciait fort peu de la postérité. Il se targuait d’être un “écrivain commercial”, un “artisan” dont le style était guidé par la recherche de clarté et de précision. Son dessein était aussi humble qu’ambitieux : procurer du plaisir aux lecteurs. Force est de constater que celui-ci demeure inentamé au fil des ans. Blackwater, c’est le plaisir retrouvé du roman-feuilleton. »
Elle France
« À la façon d’un fleuve, le style de Michael McDowell coule de source, et il ne lui faut pas plus d’une dizaine de pages pour nous plonger dans ce petit monde. Morts (plus ou moins naturelles), mariages, naissances, maladies, luttes de pouvoir et d’influence, Michael McDowell tisse une fascinante histoire de transmission à rebours des conventions. »
Telerama
« Métamorphoses et fantômes ne sont que quelques-uns des ressorts fantastiques qui irriguent ici le réalisme de surface, drapant de bout en bout Blackwater d’une inquiétante, délicieuse, irrésistible étrangeté. »
Auteur et critique
«Les points forts de McDowell sont nombreux. Sa prose est riche, allusive et souvent complexe, mais si bien polie qu’elle ne détourne jamais l’attention.»
Les libraires
« Foi de libraire : si vous débutez cette saga familiale, vous serez hameçonnés! »
Le Canada français
« Cette traduction en français [...] permet à un nouveau lectorat de découvrir ce classique aux thèmes forts – la condition féminine, la mixité raciale, le poids des traditions, l’environnement, la différence – toujours d’actualité. »
Archambault
« Une série fascinante et terrifiante de Michael McDowell »
Radio France Internationale
« Une saga familiale fantastique et terriblement addictive. »
La Presse
« Cette fresque épique qui se déploie sur cinq décennies, dans le sud de l’Alabama, promet une atmosphère unique, empreinte de fantastique, à la croisée des univers de Gabriel García Márquez et de Stephen King. »
Pénélope
« C'est addictif, on s'attache aux membres de cette famille-là! »
Véro magazine
« L’intrigue mystérieuse, les conflits familiaux, les thèmes transversaux, comme la lutte des classes, font de cette lecture accessible un excellent moment de divertissement. À glisser dans sa valise! »
Mon coussin de lecture
« Perdido est une ville poussiéreuse où les éléments fantastiques se distillent lentement. Jusqu’à ce qu’ils frappent. L’inattendu nous pend au bout du nez alors qu’on ne s’y attend pas. Quand tout semble trop calme, il faut se méfier! [...] Blackwater est une saga très intrigante. Si vous aimez les histoires familiales qui débordent un peu du cadre, c’est la lecture qu’il vous faut. »
« Traversée de moments d'inquiétantes étrangeté, Blackwater se lit comme on dévore une série Netflix. »
Littérature du Québec
« Les romans de Michael McDowell sont des tourbillons où, pour une fois, des femmes décident. C’est rafraîchissant. Une belle lecture d’été pour tenir tête aux averses et aux orages, des intrigues qui se savourent sur une plage, les deux pieds dans le sable, à l’ombre d’un parasol. »
Mitsou Magazine
« Ce feuilleton aux accents historiques, familiaux et aussi fantastiques vous gardera rivé sur votre chaise et vous fera regretter de ne pas avoir immédiatement le prochain volume en main à la fin du livre en cours. »
« [...] La saga présente un univers où pestilence et prospérité cheminent main dans la main tout en abordant des enjeux d'inégalité sociale et de sexisme sur fond de conflits familiaux et d'un surnaturel qui porte les couleurs vaseuses et oppressantes de la rivière qui borde la petite ville. »
Les libraires
«La crue installe des protagonistes aux personnalités marquantes, qui sont parfois attachants, mais souvent agaçants et à l’occasion mystérieux…»
Nuit blanche
«Une oeuvre en six volumes peut paraître monumentale, mais McDowell suscite si adroitement l'adhésion du lecteur que l'on poursuivrait volontiers la lecture pendant six autres tomes.»
Michael McDowell
Regard sur l’écrivain populaire et scénariste à qui l’on doit notamment Beetlejuice, maître de la littérature d’horreur entré dans l’histoire avec modestie.