La part de l'océan
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La part de l'océan par Dominique Fortier
Alors qu’il est plongé dans la rédaction de Moby Dick, Herman Melville fait la connaissance de Nathaniel Hawthorne, une rencontre qui bouleversera le cours de sa vie et celui de son roman. De cette histoire vraie subsistent aujourd’hui une poignée de lettres qui ont servi de point d’ancrage à La part de l’océan, un livre comme une traversée sans carte et sans boussole.
Au fil des pages, un deuxième échange se tisse entre celle qui retrace la création du grand roman américain et un compagnon mi-réel et mi-inventé, un homme qui est d’abord un poème. Car, en vérité, les écrivains sont faits de trois moitiés. La troisième part, têtue et fragile, est celle du rêve. C’est à elle que l’on doit ce récit éblouissant, traversé de fulgurances, qui raconte le plus beau des naufrages.
Moby Dick, c’est l’histoire d’un
amour qui n’a pas su commencer,
et d’un livre qui refuse de finir.
Échos
Cochaux Show
«[Dominique Fortier] écrit de la prose poétique... Elle est un poème.»
Le Devoir
«Dans La part de l’océan, Dominique Fortier tisse l’histoire à sa manière à elle, entrelaçant au récit intime celui de la vie des autres écrivains. Mais cette fois, au lieu d’Emily Dickinson, l’autrice nous entraîne au plus près de deux géants de la littérature américaine : Nathaniel Hawthorne et Herman Melville, le père de Moby Dick. Dans une réalité parallèle, la narratrice miroir est en osmose avec un autre écrivain, qu’elle décrit comme un poème, un livre. Lorsqu’ils se retrouvent, la narratrice et cet ami poème s’échangent de petits cadeaux, colifichets, talismans et souvenirs [...] — et c’est comme s’ils s’offraient des mots.»
Le Cochaux Show
«On va retrouver, dans La part de l'océan, plusieurs des éléments qui ont fait la marque de Dominique Fortier : le fait de redonner vie à un ou, dans ce cas-ci, deux écrivains disparus, son amour du dix-neuvième siècle, sa fascination pour l'océan et sa manière de lier des personnages du passé et son présent à elle.»
Radio-Canada
«Deux histoires comme un effet de miroir, mais à des époques différentes. Deux histoires qui explorent la fragilité des êtres, le pouvoir du désir et le lien avec la littérature.»
Radio-Canada
«[Dominique Fortier] touche [...] à la nature complexe des liens entre les écrivains et ceux qui les lisent.»
La Presse
«Plus que jamais, Dominique Fortier interroge le mystère de la création, de l’écriture, de la lecture, ainsi que le désir entre les êtres et les imaginaires, cela, dans un style qui ne faiblit pas, livre après livre.»
Y a pas deux matins pareils
«La part de l'océan parle de désir, d'admiration et d'amour littéraire.»
L'actualité
«Dominique Fortier [...] offre un nouveau roman éblouissant.»
Le Canada français
«[Dominique Fortier] pousse Melville dans les cordages de ce combat existentiel qui le rapproche de [Hawthorne].»
Les Irrésistibles
«[Un] roman poétique qui est à la fois riche à plusieurs niveaux.»