Dominique Fortier

Quand viendra l'aube

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Quand viendra l'aube, par Dominique Fortier

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ISBN : N/A

Au cours d’un été d’orages et de tempêtes suivant la disparition de son père, Dominique Fortier tient un carnet où elle explore le pouvoir des souvenirs à nous survivre et à élargir le réel. Elle recense autour d’elle les mystères grands et petits jalonnant nos existences : le fleuve qui coule à l’envers, des oiseaux qui parlent, le brouillard qui se dissipe comme un rideau se déchire, une montre à moitié cassée et assez de questions pour durer toute une vie.

Quand viendra l’aube convoque les voix de François Villon, d’Emily Dickinson et de Rebecca Solnit pour illuminer le deuil. Dans ces pages intimistes, l’auteure des Villes de papier et des Ombres blanches livre un bouleversant témoignage où chatoient mille et une nuances de bleu, couleur de la nostalgie, du manque et du ciel avant le lever du soleil, lorsque les ombres s’estompent et que les fantômes se révèlent pour ce qu’ils sont : des souvenirs qui refusent de mourir à leur tour.

Échos

Manon Dumais

Le Devoir

★★★★
«De son écriture raffinée, l’autrice signe avec Quand viendra l’aube une réflexion émouvante et nuancée sur le deuil, la création et le pouvoir de la nature sur celle-ci.»

Léa Harvey

Le Soleil

8,5/10

«Entre l’essai et le récit intime, l’autrice nous convie sur la grève de Saint-Antoine-de-Tilly, sur la côte est américaine ou encore dans les rues d’Outremont. Une longue balade lors de laquelle elle se confie sur le deuil de son père, de son ami François Ricard et de sa sœur aînée. Des souvenirs, des paysages et des moments de vie que la poète traite avec cette douceur propre à sa plume.»

Dominic Tardif

La Presse

«Bouleversantes, les premières pages de Quand viendra l’aube indiquent que ce témoignage forcément très intime est, comme Les villes de papier, l’œuvre d’une grande lectrice, à la différence près que ce sont ses souvenirs, et non le travail d’Emily Dickinson, qu’elle soumet cette fois-ci à la sensible clairvoyance de son regard.»

Philippe Fortin

Les Libraires

«La puissance des souvenirs et l’insondabilité des petits mystères nous entourant se déploient côte à côte avec Dickinson, Solnit et Villon, le tout sous la figure tutélaire du père disparu de l’autrice.»

Johane Despins

Culture Club

« C’est un tout petit livre, minuscule, mais c’est un grand livre pour moi […] j’en ai encore la chair de poule, c’est un livre qui va rester sur ma table de chevet […]. Un petit bijou ».

Laurence Pelletier

Lettres Québécoises

«Tel un herbier d'images, Quand viendra l'aube collecte des éclats de beauté qui pourraient survivre à la mort.»

Anne-Frédérique Hébert-Dolbec

Le Devoir

«Dominique Fortier a le don de dénicher, dans les mots des autres, de grandes vérités sur les petits et grands mystères de l’existence.»

Émilie Théorêt

Le Verbe

«[...] Chaque mot a été choisi avec soin créant ainsi des réseaux de sens qui dépasse [le livre] et habite le lecteur d’un sentiment pénétrant, mais jamais lourd : profond et lumineux à la fois. Comme pour la musique en creux dans le pavillon d’un coquillage abandonné, l’aube se lève sur la nuit.»

Dominique Lemieux

Les libraires

«Ce petit livre, c’est du Fortier à son meilleur, un condensé d’érudition encyclopédique et de phrases tissées avec soin, observations sensibles du quotidien et de ce qui vibre autour, retenue naturelle et douceur nourries par le bruit des vagues et des nuits d’insomnie.»

Jean-François Crépeau

Le Canada Français

«Quand viendra l’aube est une oeuvre d’une ingénuité naturelle mettant à nu un peu du moi quotidien de l’écrivaine et quelques fragments au ton retenu de son intimité.»

Paul Journet

La Presse

«Dense et limpide comme un cristal de roche.»

Yvon Paré

Littérature du Québec

«Un bonheur à savourer tout doucement, en prenant son temps pour ne rien rater.»

Anne-Frédérique Hébert-Dolbec

Châtelaine

«Ce carnet bouleversant, rédigé à la suite du décès de son père, témoigne d’une connaissance intime de la littérature, mise au service de l’éternité du présent et de la beauté des petites choses. Un livre qui a la délicatesse du muguet et la douceur d’un souvenir.»

Éric Blackburn, copropriétaire de la librairie Le Port de tête

Journal Métro

«D’abord, c’est super tendre, c’est doux, c’est beau. Et puis surtout, c’est une longue méditation sur le deuil, parce que c’est l’histoire de la perte d’un père. Voilà, je trouve que l’on vit à une époque assez violente, donc ça fait du bien. C’est un roman apaisant.»

Avancer aveugle

C’est tout naturellement que l’esthétique – entière, lumineuse, fluviale – de Stéphanie Robert s’est imposée pour enjoliver la couverture du livre de Dominique Fortier.

Photo de Dominique Fortier © Carl Lessard

Auteure | Traductrice

Dominique Fortier

Dominique Fortier entrelace le roman et l’essai pour construire depuis une quinzaine d’années une œuvre au confluent de l’Histoire, de l’imaginaire et de l’intime. Son premier roman, Du bon usage des étoiles, a reçu le prix Gens de mer du festival Étonnants Voyageurs en 2009, alors que Au péril de la mer a été couronné par le Prix littéraire du Gouverneur général en 2016. Les villes de papier, une plongée dans l’univers de la poète Emily Dickinson, lui a valu le prix Renaudot essai en 2020 et a été traduit dans une quinzaine de langues. La part de l’océan est son dixième livre.

Crédit photo : Carl Lessard

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