Peuple de verre
$16.99 – $27.95
Peuple de verre, par Catherine Leroux
Se loger est devenu un luxe. Des travailleurs et des familles vivent dans des camps de fortune. Des bombes explosent, des gens disparaissent. Sidonie, une journaliste frondeuse, braque les projecteurs sur ces zones d’ombre, jusqu’au jour où elle se retrouve de l’autre côté du miroir, dans un lieu où on héberge ceux qu’on appelle désormais « les inlogés ».
Hors du monde et hors du temps – que reste-t-il ? Il reste le stylo.
Dans une langue féroce et ardente, Catherine Leroux explore les notions de chez-soi et de survie, multiplie les couches narratives et les surprises, jouant avec ses lecteurs autant qu’avec son rôle d’autrice.
L'écriture est une
prophétie autoréalisatrice.
Échos
Le Devoir
« Avec ce roman à l’architecture et aux thématiques ambitieuses, Catherine Leroux multiplie les surprises et les couches narratives pour remettre en question les notions de chez-soi, de survie et de vérité. »
« C'est l'impossibilité de la résistance qui s'abîme dans ce roman beau et dur aux sédiments multiples. »
La Presse
« [D]e livre en livre, Catherine Leroux déploie son écriture riche et ample au profit d’une profondeur qui ne se dément pas. »
Dessine-moi un matin
« [Peuple de verre], ça se lit comme un thriller, avec une bonne dose de critique sociale [...]. Tout ce qui se trouve dans les pages, c'est extrêmement riche: l'acuité des réflexions, la sensibilité de la romancière et le plaisir d'un bon bouquin. J'ai ouvert ça un samedi après-midi et je me suis redressée des heures plus tard une fois que j'étais rendue à l'autre couverture. C'est déjà dans mes lectures préférées de l'année. »
L'actualité
« Dans ce roman dystopique, l’autrice montréalaise primée pose un regard imperturbable sur la crise du logement actuelle. Et ce qu’elle a imaginé donne froid dans le dos ! »
Il restera toujours de la culture
« Un plaidoyer pour la liberté narrative, je dirais même radical. C'est de déployer son imaginaire sans contraintes. »
Le Devoir
« Roman social et philosophique, Peuple de verre est ainsi porté par des personnages écorchés, mais forts, qui parviennent à transcender la misère, à s’approprier une certaine liberté et à échapper, du moins le croient-ils, au monde froid et calculé qui leur est imposé. »
Le Soleil
« Entre les pages de Peuple de verre, Catherine Leroux fait [...] tanguer l’écriture entre la vérité et le mensonge. »
L'Avaleur De Livres
« C'est un pur bonheur de lire [Peuple de verre]. »
Littérature du Québec
« Une prise de parole fort entendue et nécessaire. »
Madame lit
« Je vous recommande certainement ce livre. Je n’oublierai pas de sitôt cette histoire, car elle m’apparaît plus vraie que nature. Je suis encore bouleversée, choquée. »
Le Canada Français
« C'est aussi ça le rôle de la fiction littéraire: nous faire réfléchir aux situations extrêmes qui nous arrivent ou pourraient nous arriver sans crier gare. Catherine Leroux y parvient admirablement. »
Le journal de Montréal
« Tout cela nous trouble énormément parce que l’état du monde que décrit Leroux devait d’abord relever de la dystopie. Mais le véritable problème de l’itinérance a tellement gonflé pendant l’écriture du roman que la proposition radicale qui y est décrite semble tout à coup à portée de réalisation. On frémit. »
La librairie francophone
« Cette histoire m'est apparue plus vraie que nature et je recommande vivement sa lecture. »
Passion chronique
« C’est aussi ça le rôle de la fiction littéraire : nous faire réfléchir aux situations extrêmes qui nous arrivent ou pourraient nous arriver, parfois sans crier gare. »
Solaris #232
« [U]ne oeuvre remarquable portée par une salutaire indignation, au message social percutant et d’une brûlante actualité. »
Les libraires
« Roman dystopique avec des thèmes très actuels, Peuple de verre ne laissera aucun lecteur indifférent. »
Le Devoir
« Ce peuple de verre, c’est nous. Nos fragilités, nos contradictions, nos renoncements en tant que société. […] Je retrouve dans ce livre tout ce que j’aime chez Catherine Leroux : une intelligence folle, une poésie certaine et la capacité de créer des mondes qui sont presque les nôtres. Celui-ci est peuplé d’âmes et de corps (qui luttent, s’affaissent, baisent, s’usent, saignent, et, parfois, se redressent), l’espoir se devine comme la lumière entre les grillages. C’est captivant comme un soir d’orage. »
Collections
« S'il est bien une vérité et une certitude aisées à décoder, c'est que la lucidité, la sensibilité et l'intelligence de Catherine Leroux ont contribué à construire un roman enlevant, et que sa réticence à qualifier sa fiction de dystopie est on ne peut plus légitime. »
Logements : une coupe à blanc
Ami·e·s de longue date, le photographe James A. Rosen et l'autrice Catherine Leroux ont vu le quartier de leur jeunesse se transformer. L'un et l'autre abordent la question de la crise du logement et des évictions dans leur travail. Conversation entre deux observateur·ice·s de l'impermanence
Fiche de lecture
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